MikeBrant s'installe au 181-183 avenue Victor-Hugo dans le 16 e arrondissement de Paris [20].Le 28 octobre 1970, il sort Mais dans la lumiÚre (100 000 exemplaires écoulés) et remporte le Grand Prix RTL [21].En revanche, sa chanson écrite et composée par son ami Moshé Michael Tchaban, Why do I love you ?, n'est pas diffusée sur les radios françaises au motif qu'elle est

Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon oĂč commander le coffret ... Voir le deal € MÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RP 3 participantsAuteurMessageAlice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accĂ©lĂ©rer quand mĂȘmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 111 Toujours aller de l’avant
 C’est Ă  la fois une philosophie et une raison d’ĂȘtre. Je ne saurais vous dire pourquoi, ni comment tout ça est arrivĂ© mais c’est arrivĂ©. Quand j’y repense, j’en aie des frissons. Il fallait que je fasse le point, que j’aille de l’avant, que j’imagine ma vie autrement qu’à travers ses yeux. Je ne saurais dire pourquoi, mais c’est ainsi
 Ma vie ne se rĂ©sume qu’à ça, qu’à ce son qui rĂ©sonne entre six cordes, qu’à des paroles susurrer par le passé  Par des photos, des images qui bougent, qui me sourient, qui me dĂ©prime
 »La plume s’était arrĂȘtĂ©e. Le bruit du frottement sur le bout de parchemin s’était stoppĂ© net, faisait place Ă  la froideur de la nuit, Ă  ce silence qu’Alice redoutait tant. La pluie se baladait le long de la fenĂȘtre, les quelques bougies allumĂ©es s’étaient presque Ă©teintes, et le crĂ©pitement du feu ne faisait plus grande impression. La jeune demoiselle contemplait la salle commune de ses grands yeux gris, cherchant un dĂ©tail qui pourrait l’étonner ; mais elle la connaissait par cƓur. Ses moindres coins et recoins, tout ça Ă©tait devenu banal. Pucky avait trouvĂ© le sommeil aux pieds de la jeune Alice, l’air de rien, il s’était endormit paisiblement, Ă©mettant des ronronnements qu’on aurait pu entendre Ă  des kilomĂštres de lĂ . La Lune Ă©tait Ă©carlate, telle une peinture encore fraĂźche qu’on n’osait pas toucher, de peur de tout gĂącher
Ce tableau Ă©phĂ©mĂšre qui est la vie, ce tableau qu’on envisage, qu’on dĂ©visage et puis qu’on jette, parce qu’il est dĂ©modé  C’est ça, le bonheur quelque chose qu’on jette, parce qu’il est dĂ©passĂ©. Alice poussa un long soupir. Elle Ă©tait donc la seule Ă  cette heure ci ? Pourtant, habituellement, les Ă©lĂšves restaient Ă©veillĂ©s jusqu’à tard le soir
 Oui, elle ne comprenait plus rien, Ă  croire qu’elle Ă©tait faites pour tout tenir en Ă©chec. Elle rapprocha soudain sa plume vers son petit bout de parchemin, le trempant dans l’encrier sombre qui Ă©tait dĂ©licatement posĂ© sur la table basse. D’un geste brusque, elle nota un mot
un seul. Hate » BAM ! Son cƓur venait de dĂ©crocher, laissant les larmes couler le long de ses joues blanchĂątres. La jeune demoiselle, Ă  l’apparence d’une poupĂ©e en porcelaine, rapprocha dĂ©licatement ses mains de son doux visage. Elle entendait milles et une voix qui trottinaient dans sa tĂȘte
Des reproches, que ça, partout, et elles ne cessaient d’accroĂźtre. La jeune Alice serra les poings, s’empĂȘchant de crier, mais la tentation Ă©tait trĂšs forte, trop forte mĂȘme
 Mais elle ne devait rien dire, faire semblant, comme tous les jours de l’annĂ©e. Etait-ce si difficile ? Non, bien sĂ»r que non ! Elle Ă©tait habituĂ©e Ă  ne rien dire, Ă  garder tout ça en secret. Son cƓur Ă©tait fermĂ© Ă  doubles tours, oui, c’était connut
Alors pourquoi craquĂ© lĂ , maintenant ? Pourquoi tant de solitude ? Et pourquoi pleurait-elle ? Elle-mĂȘme ne savait pas pourquoi
sans doute le stress. Et quel stress. Ses mains s’étaient mises Ă  trembler d’avantage, mais ça ne l’empĂȘcha pas de reprendre son parchemin Ă  prĂ©sent plein de tĂąches d’encres. Sa plume en main, elle continua, ses larmes perlant toujours autant le long de son visage
 Le fort d’un ĂȘtre, c’est de savoir souffrir
sans ça, il est vouĂ© Ă  l’échec complet. Je ne suis sĂ»rement pas assez forte, mais quand le jour viendra, je dirais tout
mais pour le moment, le jour n’est pas encore venu. »Ses yeux d’un gris Ă©blouissant se remplissaient d’eau. De l’eau qu’on aurait voulut prendre d’un geste, pour qu’elle cesse de pleurer sur l’état du monde, pour qu’elle cesse enfin de souffrir en silence. Mais rien n’y faisait, pourtant on la voyait sourire en mĂȘme temps. C’était de l’ironie
 Stop. Le silence revint alors, plus rien n’aurait pu retenir son attention Ă  part le crĂ©pitement du feu. Plus rien, mĂȘme pas ces voix qui va et venaient
mĂȘme pas ce bruit Ă©trange qui venait de s’interposer entre le ronronnement de Pucky et le scintillement des bougies. En fait, quand on Ă©coutait de plus prĂšs, c’était des bruits de pas. Alice retint alors son souffle, essayant tant bien que mal d’arrĂȘter ses larmes
elle se mit Ă  empoigner le bout de parchemin, puis le froissa dans tous les sens. S’en Ă©tait assez ! D’un geste quasi-immĂ©diat, elle balança la boule » Ă  l’autre bout de la piĂšce
Son coeur battait la chamade, ses yeux Ă©taient fermer, ne voulant pas voir la rĂ©alitĂ© en face tout le monde change. Natalia J. NewberryNombre de messages 22Date d'inscription 05/11/2007Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 159 Natalia restait allongĂ©e sur son lit, incapable de s’endormir, les jambes et les bras croisĂ©s, elle restaient lĂ  inerte, a rĂ©flĂ©chir, ou plutĂŽt a rĂȘver, comme a son habitude. Elle ferma ses yeux quelques instants, faisant disparaĂźtre ses iris bleu, puis les rouvrit calmement, dĂ©cidĂ©ment, elle ne dormirais pas cette nuit. Depuis quelques temps la bleue et argent, Ă©tait prise d’insomnie inexplicable. Elle n’en parlait bien Ă©videment a personne, car elle n’était pas du genre a ce confier. HabillĂ©e d’un short et d’un dĂ©bardeur, par-dessus lesquels, elle enfila une chemise trop grande pour elle, Natalia fit glisser ses pieds sur le cĂŽtĂ©. Au contact de sa peau sur le parquet froid, un frisson lui parcoura le corps tout entier. DĂ©cidĂ©ment, elle n’aimait vraiment pas l’hiver, c’était bien trop froid, pour la jeune Ă©tudiante de Poudlard qui au contraire, aime les beaux jours. Silence. Elle se leva en silence, se dirigeant a pas feutrĂ©s vers la salle de bain. Le dortoir plongĂ© dans l’obscuritĂ©, elle entendait la respiration lente des autres filles avec qui elle le partageait. Lorsqu’elle arriva Ă  l’endroit voulu, elle sortit sa baguette et murmura un vague Lumos » a peine audible. Quoi qu’il en soit, il apparu au bout de sa baguette, une petite lumiĂšre verte, qui l’éclaira assez, pour que Natalia puisse s’emparer du premier Ă©lastique qu’elle trouva, pour ainsi, s’attacher les cheveux en une queue de cheval haute, faite a la va vite. Une mĂšche retombant devant ses yeux, elle la cala derriĂšre son oreille droite, puis se dirigeant a prĂ©sent vers les escaliers, elle mettait sa baguette en direction du sol, pour Ă©viter de marcher sur quelque chose qui ferait du bruit, ou bien qui pourrait la faire tomber. Prenant ensuite la direction de l’escalier en colimaçon, elle entendit toute fois du bruit en bas, et s’arrĂȘta Ă  quelques marches de la fin de celui-ci. D’oĂč elle Ă©tait, elle ne voyait pas encore qui c’était, et si elle tombait sur la prĂ©fĂšte, elle sentait a trois kilomĂštres a la ronde, la leçon de morale a laquelle elle aurait le droit. Silence. Seulement un grattement de plume. Zut. Si cette personne Ă©tait toute seule, elle n’allait pas parler, Ă  moins qu’elle soit folle. Elle s’étira alors du mieux qu’elle pu pour sortir sa tĂȘte et regarder qui s’était. Manquant de tomber, elle provoqua un bruit d’enfer. Une grimace sur son visage, elle releva son regard vers les escaliers, peut ĂȘtre que certains descendrait voir ce qu’il se passait. Puis, elle s’intĂ©ressa enfin Ă  la personne qui Ă©tait prĂ©sente dans la salle A la vue de son amie, Natalia ne pu alors rĂ©primer un immense sourire. Alice. Alice. Ce seul mot, procurait une euphorie en Natalia. Elle. Seulement elle. C’était une longue histoire, une longue amitiĂ©, qui remontait a prĂ©sent Ă  de nombreuses annĂ©es. Effaçant son sourire doucement, elle s’approcha de son amie, la serrant dans ses bras quelques secondes, elle alla s’asseoir dans le fauteuil le plus prĂšs de la cheminĂ©e. Etant une grosse frileuse, elle sortit sa baguette, et le fit battre du tonnerre Ă  l’aide d’un sortilĂšge basique. Se recroquevillant sur le fauteuil, elle entoura ses jambes avec ses bras, puis reposa son regard bleu flamboyant sur son amie, elle se demandait bien ce qu’elle faisait a une heure pareille a Ă©crire dans la salle commune, alors qu’elle aurait pu se faire prendre a tout moment. Mais elle reconnaissait lĂ , le tempĂ©rament d’Alice, si semblable au sien. Toujours prendre des risques, sinon ce n’est pas drĂŽle. Silence. Elle la regarda encore quelque seconde avant de prendre la parole. Alice » Elle marqua une pause. Tu peux me dire ce que tu fabriques ? »Un sourire amusĂ© sur les lĂšvres, la jeune femme connaissait dĂ©jĂ  la rĂ©ponse, elle Ă©crivait ses pensĂ©es, comme toujours. Eternelle rĂȘveuse. Silence. Et si on s’enfuyait toutes les deux dans un autre monde, notre monde, et imagine qu’il serait comme on le voudrait. Oui. C’était gĂ©nĂ©ralement les sujets de conversations des deux Serdaigle. Silence. Elle reporta une derniĂšre fois son regard sur son amie, avant de prendre sa baguette de l’agiter faiblement, et des rubans sortirent alors de celle-ci pour former un seul et unique mot. Dream. » Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo dĂ©jantĂ© et SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 321 Brrrr. On s’les gĂšle. Allez, j’me casse. »Nuit. Parc. Atreus. LĂ  encore, ces trois mots rĂ©sumaient bien la situation. L’Irlandais n’avait pu s’empĂȘcher de faire une petite escapade nocturne. Il y Ă©tait accoutumĂ© mais, comme on dit souvent, On ne change pas les vieilles habitudes ». Ses fonctions de prĂ©fet ? Boaf. Pas une raison pour respecter Ă  la lettre le rĂšglement. Si ? Tant silhouette du jeune homme, non reconnaissable dans l’obscuritĂ©, bougea. Elle se mit en marche vers le chĂąteau, prenant garde au sol traĂźtre du parc. Pour un observateur attentif et proche, on pouvait apercevoir un objet dĂ©passant de la ceinture du Serdaigle. Une lame. EnsanglantĂ©. Pas besoin de vous rappeler ce qu’il fait avec. De toute façon, on le devine facilement. Le jeune homme continua son chemin, Ă©clairant son passage du mince faisceau que lui procurait sa baguette. C’était une nuit claire et fraĂźche de Septembre. Le silence de la nuit Ă©tait agrĂ©able. Reposant. MĂȘme le vent se faisait discret. Seul le lĂ©ger bruit Ă©touffĂ© des pas de l’étudiant se faisait entendre. Mais, fatiguĂ© de cet absence de bruit, un hibou lança un hululement sonore qui fit sursauter la silhouette. Tssss. SaletĂ© de volatiles nocturnes. L’élĂšve reprit sa route.+ + + + + + + +Se faisant discret quand il le voulait grĂące Ă  son don, Atreus ne tarda pas Ă  arriver sans encombre devant l’escalier qui menait Ă  sa salle commune. Donnant sans hĂ©sitation la rĂ©ponse Ă  la question habituel du Gardien, un Aigle en bronze, le jeune homme s’engouffra avec joie dans la salle, emmitouflĂ© dans une veste grise. Le feu crĂ©pitait avec tant ardeur qu’il s’en Ă©tonna premiĂšrement. C’est alors qu’il aperçu les deux silhouettes assises auprĂšs du foyer. Elles s’étaient retournaient Ă  son entrĂ©e et l’observaient Ă  prĂ©sent. L’Irlandais n’y prit pas garde dans l’instant et entreprit de se rapprocher de l’ñtre, car il grelottait de froid. Ne pouvant que s’approcher des deux silhouettes, ils se tourna vers elle. C’étaient deux jeunes femmes. Parmi-elles, se trouvait Junie. De mĂȘme annĂ©e que lui, Atreus s’était liĂ© d’amitiĂ© avec cette jeune femme dĂšs le dĂ©but de sa scolaritĂ©. MalgrĂ© leurs caractĂšres diffĂšrent remarquez, Atreus est diffĂ©rent de la majoritĂ© des Serdys, ils s’apprĂ©cient mutuellement. L’autre jeune femme n’était qu’autre que Alice, grande amie de Junie et en SixiĂšme AnnĂ©e. Atreus l’a connaissait bien aussi mais nourrissait moins de liens avec elle. En tout cas, en apercevant leurs visage, le jeune homme eut un sourire. Atreus Junie. Alice. Vous allez bien vous deux ? » Atreus se laissa tomber sur le divan faisant face Ă  la cheminĂ©e mais proche des deux filles et se mit en devoir de rĂ©chauffer ses membres engourdis par le froid. Il tourna la tĂȘte et observa les deux jeunes le bruit du bois qui craquait se faisait entendre. Les ombres des trois Serdaigles valsaient sur les murs. Atreus. Alice. Junie. Trois Ă©tudiants. Une nuit. VoilĂ  le tableau. DerniĂšre Ă©dition par le Mar 6 Nov 2007 - 1411, Ă©ditĂ© 2 fois Alice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accĂ©lĂ©rer quand mĂȘmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 1305 Ce sentiment avait disparus en quelques secondes. La peur d’ĂȘtre prise sur le fait, d’ĂȘtre dĂ©couverte
 Junie avait fait son apparition, toujours aussi radieuse. C’était automatique chez Alice quand elle voyait son amie sourire bĂȘtement. Elle dĂ©testait ça, mais ne pouvait s’en empĂȘcher. Ah, si vous saviez
 Si vous saviez comme Junie Ă©tait importante pour la jeune Alice. C’était une amie remarquable, et toutes deux Ă©taient trĂšs semblables. La jeune Brown se dĂ©gagea la gorge, touchant dĂ©licatement ses yeux ; mais ça ne servait Ă  rien de le cacher, Natalia saurait qu’elle avait versĂ© quelques larmes
 C’était ça, leur amitiĂ©. ConnaĂźtre l’autre sur le bout des doigts, savoir ce qu’elle ressent sans mĂȘme lui accorder un regard ; ça c’était la vraie amitiĂ©, celle qu’on voit dans les contes de fĂ©es, celle dont on rĂȘve toute sa vie, celle qu’on a peur d’imaginer
 Alice avait eut de la chance ; elle l’avait trouvĂ©. Ca ne collait pas trop dans son caractĂšre de s’attacher Ă  quelqu’un, mais dans le cas lĂ , elle n’avait pas vraiment eut de mal. La jeune Alice avait rencontrĂ© Junie quelques annĂ©es auparavant, et depuis, elles ne se quittaient plus
 Dans un toussotement lĂ©ger, la Serdaigle Ă©couta la voix de son amie. Ce qu’Alice fabrique ? Hum
Junie le savait au fond, car c’était devenu une coutume » pour la jeune Brown ; Ă©crire. Oh
Eh bien, j’écrivais. »Elle eut une pensĂ©e pour la boule de parchemin qui avait voltigĂ© Ă  l’autre bout de la salle commune. Puis elle Ă©metta un bref soupir, le regard gĂȘnĂ©. C’est vrai, et si Junie lui demandait ce qu’elle avait Ă©crit, qu’aurait-elle Ă  rĂ©pondre Ă  part je sais plus » ? Rien, strictement rien
 Mais cette idĂ©e ne fit que lui traverser l’esprit, trop occupĂ©e Ă  regarder l’élĂšve qui venait d’entrer dans la salle commune. Alice ne s’occupa pas trop de lui, pensant que c’était encore un de ces Ă©lĂšves de TroisiĂšme annĂ©e qui cherchait absolument Ă  se faire remarquer – d’ailleurs, vu le bruit, ce n’était pas Ă©tonnant. Mais elle ne tarda pas Ă  comprendre qu’il ne s’agissait d’en aucun cas d’un troisiĂšme annĂ©e, mais plutĂŽt de Atreus Calgar, le PrĂ©fet. Bon, Alice ne le connaissait pas Ă©normĂ©ment, mais d’aprĂšs Natalia, il en valait la peine
 La jeune Serdaigle lui accorda un sourire ravissant, jusqu’à ce qu’il prenne la parole
 A priori, Junie et lui Ă©tait frigorifiĂ© ; Ă  les voir, Alice ressentit un frisson. Maintenant, ils Ă©taient trois. Ca va, ça va
 » mais elle ne pouvait s’empĂȘcher d’avoir un sourire hypocrite en disant ça, puis elle continua sur sa lancĂ©e 
et toi ? »Pas trĂšs crĂ©dible, sĂ»rement. Mais les mots qu’avaient dessiner Junie avec sa baguette venaient de lui rendre l’espoir. DREAM. Elle avait raison, la vie c’est avant tout vivre ses rĂȘves
 Fallait-il pour autant en oublier le principal ? Rester sur Terre, rester sur Terre » la jeune Serdaigle se l’était dit des milliers de fois. Pourtant, rien ne faisait, elle restait dans sa bulle, n’osant plus regarder la rĂ©alitĂ© en face. Elle fut Ă©coeurĂ©e rien qu’à la pensĂ©e d’ĂȘtre apprĂ©ciĂ©e ». Non, c’était impossible
 Son regard se posa Ă©troitement sur Atreus. Quand elle s’en rendit compte, elle n’osa plus bouger un cil, se contentant d’écouter la mĂ©lodie que produisait le crĂ©pitement du feu
 Puis Junie. Elle Ă©tait toujours lĂ , toujours avec cet air rĂȘveur. Alice se sentit pousser des ailes, et comme avait fait son amie un peu plus tĂŽt, elle prit sa baguette et dessina quelque chose dans l’atmosphĂšre. En forme de vapeur, quelques lettres manuscrites firent leurs apparitions. Friends ». Puis sa pensĂ©e revint pour la boule de parchemin, perdue sans raison dans un coin de la salle commune. Mais il lui Ă©tait impossible de dire la vĂ©ritĂ©, sa vĂ©rité  Pas pour l’instant, en tout cas. Imagines toi dans un monde oĂč il n’y a que nous, oĂč tu as des ailes et oĂč les seuls sentiments qui y rĂšgnent sont l’amour et la joie. Imagines ce monde, et appelles moi quand tu l’as trouvé  Appelles moi quand tu auras pris conscience que ce monde, c’est le Paradis. » James Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 2206 PRÉCISION - Normalement vous l'appelez Ian vu qu'il n'aime pas se faire appeler James. Et dĂ©solĂ©, j'ai fait un truc pourri -___- DerniĂšre annĂ©e. Nouvelle annĂ©e. C’était carrĂ©ment une partie de son adolescence qui allait bientĂŽt se terminer. De toute maniĂšre, depuis maintenant presque un an, il Ă©tait majeur dans le monde magique. James avait 17 et dans deux mois, il allait en avoir 18. Oh non, il n’avait pas redoublĂ©. Il avait simplement perdu une annĂ©e pour cause qu’il Ă©tait nĂ© en novembre. Mais ça, ce n’était ni de la faute de ses parents, ni de la sienne. De personne en fait. Et puis. On ne va pas Ă©crire tout un texte sur sa naissance, ce n’est pas important. Ian Ă©tait dans son dortoir. Sa baguette Ă©mettait une petite source de lumiĂšre, baguette qui Ă©tait posĂ©e contre la petite table au cĂŽtĂ© du lit. Elle Ă©tait suffisamment forte pour permettre au jeune homme de lire, assez faible pour ne pas rĂ©veiller le reste des septiĂšmes annĂ©es. Mais il en manquait un. Encore. Atreus Calgar. Depuis le nombre d’annĂ©es qu’ils se connaissaient, Ian commençait Ă  trĂšs bien le connaĂźtre. Ils Ă©taient quand mĂȘme assez proches. Le prĂ©fet Ă©tait probablement parti se promener quelque part dans l’école. Plusieurs fois, il Ă©tait venu, mais pas cette fois. Un petit bouquin avait attirĂ© son attention. Durant l’aprĂšs-midi, il Ă©tait passĂ© faire un tour Ă  la bibliothĂšque, comme Ă  son habitude, mais il Ă©tait tombĂ© sur un petit ouvrage bien particulier. Il n’avait pas de titre. La couverture Ă©tait rouge foncĂ©, et on pouvait y voir une sorte de dessin abstrait sur la couverture. Mais quoi ? C’était impossible Ă  dĂ©chirer, et Ian ne l’avait pas lĂąchĂ© depuis. MĂȘme le texte semblait assez complexe. Il n’était rendu qu’à la cinquiĂšme page et encore il Ă©tait mĂȘme pas certain d’avoir tout saisit. C’était un univers spĂ©cial qu’il devait absolument dĂ©couvrir. Il Ă©tait tellement absorbĂ© qu’il n’avait mĂȘme pas vu un autre Ă©tudiant se levĂ© et venir Ă  cĂŽtĂ© de son lit. Ian. » Ian ? » dit-il un peu plus fort. Hum ? » se contenta de dire Ian sans mĂȘme lever un regard. Qu’est-ce que tu fais ? »Le jeune homme s’arracha difficilement de son livre et posa son regard foncĂ© sur son ''ami''. Car oui, ils se connaissaient quand mĂȘme. Je lis. Ça ne se voit pas ? » Tu peux pas aller lire ailleurs ? La lumiĂšre de ta baguette m’arrive directement dans les yeux. »James arqua un sourcil. Ecnore. S’il voulait dormir, il n’avait qu’à fermer les yeux ou se tourner de l’autre cĂŽtĂ©. Le jeune homme haussa les Ă©paules, et referma doucement le livre, avant de sortir de son lit. En fait, les couvertures n’avaient pas Ă©tĂ© dĂ©fais. Il Ă©tait simplement assis, dos contre son oreiller, qui Ă©tait contre le mur. Il portait une paire de pantalon bien normal noir, avec un t-shirt blanc. À la tombĂ©e de la nuit, il avait enfilĂ© une veste bleu foncĂ© et avait mis le capuchon sur sa tĂȘte. Allez savoir pourquoi. Tout portait Ă  croire qu’il ne s’était pas encore changĂ© pour dormir. Bref. Il attrapa sa baguette qu’il Ă©teignit de façon informulĂ©e et sortit silencieusement du dortoir. Il descendit Ă  son tour les escaliers en colimaçon, et s’arrĂȘta dĂšs qu’il eut enlevĂ© le pied de la derniĂšre il eut une impression de dĂ©jĂ  vu. Trois personnes. Atreus. Junie. Alice. Ce n’était pas la premiĂšre fois qu’ils se retrouvaient tous les quatre dans la salle commune. Tenant sa baguette et son livre avec la mĂȘme main, il eut un petit sourire en coin et s’approcha d’un des fauteuils et s’installa aux cĂŽtĂ©s d’Atreus. Bonsoir Ă  tous. »Toujours le capuchon sur sa tĂȘte, il porta son regard sur son ami, toujours ce petit sourire flotta sur ses lĂšvres. Xavier m’a gentiment foutu dehors du dortoir. Encore. » Ce type n'Ă©tait pas tellement apprĂ©ciĂ© d'ailleurs avec tous ses petits caprices. Ce Xavier je-ne-sais-trop-quoi. Natalia J. NewberryNombre de messages 22Date d'inscription 05/11/2007Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 2231 Natalia resta silencieuse un instant. Elle savait qu'avant son entrĂ©e Alice avait versĂ©e quelques larmes, mais elle ne lui fit aucune remarque la dessus, elle savait ce qu'Ă©tait la pudeur, et elle mĂȘme detestait qu'on la force a parler, lorsqu'elle ne le faisait pas d'elle mĂȘme. Laissant alors son regard vagabonder sur les flammes dansantes, elle laissa alors le temps qui lui fallait, a Alice, pour s'essuyer les yeux correctement, et ainsi effacer toutes traces de chagrin de son visage. Lorsqu'elle reposa ses yeux bleu sur son ami, elle afficha un sourire, mais celle ci n'eu pas le temps de lancer un nouveau sujet de conversation, que quelque chose provoquait un bruit d'enfer. Instinctivement, Natalia porta son regard vers le dortoir, mais aprĂšs quelque seconde a scruter cet endroit endormit, elle compris, qu'elle s'Ă©tait trompĂ©e et que le bruit ne provenait pas de lĂ . Silence. Il se rapprochait, soudain, elle vu personne d'autre qu'Atreus, arrivĂ©e dans la salle commune, un air joyeux sur le visage. Encore partie en vadrouille, et il avait oser ne pas en parler a Natalia. En mĂȘme temps, il faut dire que lorsqu'on lance la bleue et argent, on n'arrive plus a l'arrĂȘter pas mĂȘme Atreus, James, Alice, ou bien encore Leslie sa soeur jumelle. Non. Personne. Elle le vit alors se rapprochĂ© des deux amies, a son expression cela ne l'Ă©tonnait guĂšre de trouver Alice et Natalia dans la salle commune a cette heure ci, mais en mĂȘme temps au bout de sept ans, il devait s'y ĂȘtre habituer. Junie. Alice. Vous allez bien vous deux ? » Ca va, ça va
 et toi ? »Natalia ne rĂ©pondit pas tout de suite, elle aimait se faire attendre. Elle vit alors le prĂ©fet de sa maison s'installer dans un fauteui proche du sien, et se rĂ©chauffer grĂące au feu qu'elle avait allumĂ©e quelques minutes a peine auparavant. Puis elle reporta son attention sur Alice. Alors que le mot que Natalia avait tracer, s'ffacer doucement, Alice, elle, en inscrivit un nouveau. c'Ă©tait comme un jeu pour les deux amies, et en mĂȘme temps une façon de s'entrainer pour les sortilĂšges. Elles Ă©taient ce que l'on pouvait qualifer de rĂ©eles sorciĂšres, ne faisant pratiquement rien sans leurs baguette, mĂȘme lacer leurs chaussures. Silence. Se massant doucement le front, elle prit enfin la parole, cassant le silence, bercer par le crĂ©pitement des flammes. Je pĂšte la forme. »L'arrogance de Natalia Ă©tait quelque chose de phĂ©nomĂ©nal, les rĂ©pliques de la bleue et argent cultes. On ne pouvait y Ă©chapper, elle avait toujours le dernier, et surtout, elle avait toujours quelque chose a rĂ©pliquer. Ce qui ne se fit pas attendre. Au regard interrogateur d'Atreus, elle fournit alors trĂšs vite une explication a son sarcasme. J'aime tellement ne pas ĂȘtre conviĂ©es aux virĂ©es nocturnes. Non. SincĂšrement ca m'va droit au coeur. »Fixant Atreus d'un air de dĂ©fi, elle n'eu pas le temps d'entammer une guerre que quelqu'un d'autre faisait son entrĂ©e. Silence. Tournant la tĂȘte, cette fois ci, cela provenait bien des dortoirs. Elle fit alors une lĂ©gĂšre grimace jusqu'a ce qu'elle s'appercoive, que ce n'Ă©tait que James. C'Ă©tait quelqu'un avec qui elle s'Ă©tait rapprochĂ©e dĂšs le dĂ©but de sa scolaritĂ©, et avec qui elle Ă©tait a prĂ©sent Ă©troitement liĂ©es. D'ailleurs, il n'est pas rare qu'elle s'amuse a la titiller en l'appelant James, oĂč alors son jeu favoris est de se faire passer pour Leslie, et que Leslie se fasse passer pour elle. La seule personne qui ai jamais su la reconnaitre, c'est Alice. Mais en mĂȘme Alice, c'est Alice, et elle connait tellement bien Natalia, qu'on comprend qu'elle ne la confonde pas aussi facilement, mĂȘme avec sa soeur jumelle. Silence. Bonsoir Ă  tous. » Jaaaames. Il ne manquait plus que toi. »Ne me demandez pas ce qu'a Natalia ce soir, elle est dĂ©chainĂ©e. La provocation et l'arrogance sont de mise. Mais en mĂȘme temps, cela fait bientĂŽt sept ans qu'Atreus comme James, supporte le caractĂšre arrogant de la jeune bleue et argent, alors une nuit de plus qu'est ce que c'est ? Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo dĂ©jantĂ© et SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Jeu 8 Nov 2007 - 113 Alice - Ca va, ça va
 et toi ? »Atreus - On fait avec
 » Atreus fit un lĂ©ger sourire Ă  Alice tout en apprĂ©ciant avec douceur la bonne chaleur du feu. Le meilleur moyen pour se rĂ©chauffer tiens. AprĂšs un instant de rĂ©flexion avec sa conscience il rectifia sa pensĂ©e. Non. Le meilleur moyen Ă©tait un bon verre d’alcool. Mais faute d’en avoir dans l’immĂ©diat, c’était l’idĂ©al pour l’instant. Le Serdy fixa alors Junie. Hmmm
 Qu’avait-elle encore ? Elle ne lui avait rien dit jusqu’à prĂ©sent. Elle faisait la gueule ? Ca serait pas la premiĂšre fois. On va dire qu’Atreus Ă©tait accoutumĂ© de ses petites renfrogneriez. Il lui arrivait souvent de dĂ©conner sur ça avec Ian. Tiens. En pensant Ă  lui, il Ă©tait sĂ»rement en train de bouquiner encore. Le jeune homme eut encore un p’tit sourire. Une manie de Ian ? On pourrait dire ça. Mais ça empĂȘchait pas Atreus de l’adorer comme un frĂšre. Tout comme il adorait Junie et son caractĂšre. Et Alice avec sa gentillesse et sa mĂ©lancolie. Junie - Je pĂšte la forme. » Atreus eut un lĂ©ger sursaut et observa Junie. AĂŻe. J’vous avez dit qu’il y avait quelque chose qui clochait. AprĂšs sept ans passĂ© en sa compagnie, j’la connaĂźt comme ma sƓur la Junie. L’Irlandais haussa les sourcils et lui lança un regard interrogateur. Il voyait pas du tout ce qu’il avait fait qui pouvait dĂ©plaire la jeune femme. Junie - J'aime tellement ne pas ĂȘtre conviĂ©es aux virĂ©es nocturnes. Non. SincĂšrement ca m'va droit au coeur. » Et merde. VoilĂ  qu’ça recommence. Comment il avait pu ne pas penser Ă  ça ? Atreus leva les yeux aux ciel tout en se retenant de ne pas rire. Combien de fois n’avait-il pas eu Ă  essuyer les rĂ©primandes de la jeune femme pour une vadrouille nocturne solitaire ? Hum. J’ose mĂȘme plus les compter. Sans rien dire, il retroussa les manches de son pull. Ses bras nus apparurent oĂč se dĂ©marquaient de longues estafilades encore humides de sang. Il les prĂ©senta devant la bleu et argent. Lui rendant son regard de dĂ©fi, Atreus reprit la parole, un peu sĂšchement mais toujours d’un ton cynique. Atreus - T’veux vraiment m’accompagner pour m’voir faire ça ? J’croyais que ça te plaisait pas. » Mais avant qu’aucun des trois Ă©tudiants ne puissent parler, un bruit se fit entendre. Atreus se tourna complĂštement pour faire face Ă  l’escalier des dortoirs, prĂȘt Ă  remballer aussi sec tout Ă©lĂšve qui se serait pointĂ©. Quelques bruits de pas. Et Ian apparut. L’Irlandais esquissa un sourire en voyant son pote se ramener, un Ă©ternel bouquin Ă  la main. Il changera jamais. Ian - Bonsoir Ă  tous. »Junie - Jaaaames. Il ne manquait plus que toi. » Atreus ne put s’empĂȘcher d’éclater de rire. Les taquineries de Junie. L’irritation qu’éprouvait Ian Ă  l’évocation de son autre prĂ©nom, James. Fallait dire ce qu’il fallait. Ils lui avaient quand mĂȘme manquer pendant les vacances. Tous. James s’installa aux cĂŽtĂ© de l’Irlandais. Ce dernier se retourna et, ne pouvant s’empĂȘcher de repasser une couche aprĂšs la remarque de la jeune blonde, embrancha sur un ton totalement moqueur. Atreus - Hey. Comment qu’y vas aujourdhui le James ? Bien ou quoi ? » Les lĂšvres retroussĂ©es en un sourire complĂštement stupide mais Ă©nervant, Atreus observa la rĂ©action de son ami. Elle allait pas tarder. Et c’était toujours un grand moment de plaisir. Juste avant que Ian ne rĂ©alise les moqueries, il avait eu le temps de dire discrĂštement Ă  Atreus Ian - Xavier m’a gentiment foutu dehors du dortoir. Encore. » Tssss. Ce Xavier. Un jour, il allait le cogner celui-lĂ . Toujours Ă  rĂąler, se plaindre, gĂ©mir pour des broutilles. Atreus leva les yeux au ciel avant de lui rĂ©pondre, d’une voix exaspĂ©rĂ©e et lĂ©gĂšrement dur Atreus - P'tin. J’te jure, s’il nous refait l’mĂȘme coup que l’annĂ©e derniĂšre, j’vais pas pouvoir me retenir
 » Le jeune prĂ©fet lui lança un regard Ă©loquent et complice avant de se laisser aller contre le divan, levant la tĂȘte vers le plafond. Putain. Il se sentait quand mĂȘme bien lĂ . En osmose avec lui-mĂȘme, entourait de ses amis, sous une agrĂ©able chaleur. Tout ce qu’il fallait. Il sentit soudain un objet lui rentrait dans les cĂŽtes. Il baissa les yeux et lança nĂ©gligemment sa lame sur la table posĂ© Ă  quelques pas de lui. Le jeune homme se renversa une fois de plus sur le dossier moelleux. Passeraient-ils encore une nuit blanche Ă  bavarder tout les quatre ? Possible
 Alice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accĂ©lĂ©rer quand mĂȘmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Jeu 8 Nov 2007 - 1900 HRP - DĂ©solĂ©e du truc merdique...Alice esquissa un sourire complice, regardant de droite Ă  gauche, comme ci elle cherchait quelqu’un. C’était habituel, et s’en en devenait maladif cette sensation
celle d’ĂȘtre de trop, de ne jamais rien dire, ce silence renfermant la plus grande souffrance. Elle regardait ses amis, ne pouvant dire quelque chose ; elle Ă©tait comme paralysĂ©e. A force, elle ne regardait mĂȘme plus autour d’elle, sachant par cƓur ce qui allait se produire car c’était sans cesse le mĂȘme scĂ©nario. Elle restait lĂ , figĂ©e, incapable de penser autrement. Alice en devenait pathĂ©tique
 TrĂšs vite, elle posa la main sur son chat, le caressant avec douceur, mais ne pouvant retirer ses yeux des flammes. Les deux autres parlaient, elle les entendait mais n’écoutait rien. Les seuls mots qui en sortirent Ă©taient virĂ©e nocturne
sans moi
 ». Junie aimait ça, et Alice aussi, mais c’était diffĂ©rent. Junie prenait ça comme un dĂ©fi, ou du moins c’est ce qu’avait toujours penser Alice, alors que la jeune Brown en faisait juste pour
respirer. Oui, la jeune Alice Ă©tait trĂšs loin d’ĂȘtre la fille que l’on croit, oui, trĂšs loin. Ses ongles ornĂ©s de vernis rouge laquĂ© se glissaient dans le pelage de Pucky, faisant des va-et-vient incessants. Elle restait silencieuse, encore et encore, se sentant toujours mal, avec cette boule dans la gorge. Elle Ă©tait incapable de faire le moindre geste, ses yeux d’un gris Ă©tincelant formant une barriĂšre entre son esprit et
le reste. S’en Ă©tait trop, et mĂȘme l’arrivĂ©e de Ian ne changea rien Ă  la donne. Elle lui avait fait un sourire, mais rien de plus. Les trois autres s’étaient remis Ă  parler, d’aprĂšs les moindres parcelles de phrases qu’elle captait, ils titillaient Ian en l’appelant James
il dĂ©testait ça. Ses mains tremblaient peu Ă  peu, et dans sa mystĂ©rieuse quĂȘte de solitude, elle avait trouvĂ© les rĂ©pondes ; elle n’était qu’une moins que rien. Ses amis continuant de parler, Alice se leva, l’air de rien, se dirigeant vers l’autre cĂŽtĂ© de la salle commune. Sa petite taille faisant qu’elle pouvait passĂ© n’importe oĂč, elle se faufila derriĂšre un meuble gigantesque, disparaissant de leur vue. Quelques minutes aprĂšs, elle en ressortit, cet air toujours aussi Alicien », une boule de parchemin dans les mains. La jeune Serdaigle le dĂ©froissa, espĂ©rant qu’ils ne l’avaient pas remarqué de toute façon c’était sĂ»rement le cas. C’est vrai, elle Ă©tait trĂšs discrĂšte, mĂȘme si des fois elle avait l’envie d’hurler JE SUIS LA ! » elle ne faisait rien. Repensant tout Ă  coup aux mots qu’elle avait employĂ©s dans son parchemin, elle se rapprocha du canapĂ© oĂč Ă©tait Junie, s’asseyant Ă  cĂŽtĂ© d’elle. D’une traite, elle reprit sa plume, la trempant dĂ©licatement dans l’encre, puis elle se remit Ă  Ă©crire des mots comme la fin », les autres », diffĂ©rents » ou nulle ». C’était un cercle vicieux, un peu comme dans celui oĂč Ă©tait tombĂ© Atreus et sa lame. Alice n’avait rien dit, ne voulant pas lui faire de leçon de moral, et encore moins lui dire qu’elle ne supportait plus de le voir ainsi. A quoi bon fondre en larmes devant eux ? Alice regarde toi, tu es tellement faible
Stop. Elle continua Ă  Ă©crire, ses iris gris se posant quelques fois sur le visage de ses amis. D’un coup, sans savoir pourquoi, elle sortit machinalement
 Atreus, la prochaine fois que tu fais une virĂ©e nocturne, dis le moi
enfin bon, si tu veux bien de moi, bien sĂ»r »Miracle, elle avait su dĂ©crochĂ© une phrase, et sans se forcer. La jeune Alice n’osa mĂȘme plus relever la tĂȘte, faisant toujours semblant d’écrire. D’ailleurs, ce qu’elle avait Ă©crit n’avait aucun sens
 Des phrases incomprĂ©hensibles, remplissant le parchemin d’une encre noire tellement sombre qu’on aurait penser Ă  du sang. Le crĂ©pitement des flammes faisait qu’elle n’entendait plus le ronronnement de Puck’, ce qui ne la rassura pas. Elle aimait le sentir Ă  ses cĂŽtĂ©s, elle se sentait en sĂ©curitĂ©, prĂȘte Ă  braver milles et une Ă©tapes, milles et un dangers
 Mais finit, son silence Ă©tant rompu, elle jeta sa plume au niveau de l’encrier, se fourrant dans le canapĂ© moelleux. Son regard, en prioritĂ©, se dirigea vers la direction de Junie. Elle lui adressa un sourire, incapable de lui dire ne serait-ce qu’une petite phrase. Mais le silence n’est-il pas le plus criant des mots ? Il sait dire tout Ă  la fois, sans qu’on prenne la peine d’ouvrir la bouche, sans qu’on prenne la peine de tout gĂącher
 Boom-Boom. Son cƓur battait la chamade, comme d’habitude. Alice Ă©tait trop nerveuse, trop mĂ©lancolique et bien trop gentille et seule » comme dirait si bien l’homme de PrĂ©-au-Lard
 Levant les yeux au ciel pour empĂȘcher ne serait-ce qu’une larme de couler, elle soupira doucement, ne voulant pas dĂ©ranger leur fabuleuse conversation. Xavier, Xavier, Xavier
 Alice avait eut l’occasion de lui parler une seule fois, et il avait fait tout pour qu’elle comprenne qu’elle ne valait rien, qu’elle Ă©tait bĂȘte, moche, sans cƓur et
passons les dĂ©tails. Xavier Ă©tait un garçon narcissique, et Alice se demandait comment faisait Ian et Atreus
Ils Ă©taient courageux. Je compatis »Elle avait lancĂ© cette phrase avec un fond moqueur, mais sans le faire voir rĂ©ellement. Ses yeux gris brillants comme un miroir, elle fit volte face et regarda en direction de Ian, lui adressant un sourire des plus chaleureux. Ouais, on l’aimait bien pour ces sourires, Alice. Mais pour rien d’autre
c’était de sa faute. James Re Everybody's Changing - Libre Jeu 8 Nov 2007 - 2206 - Ça, c'est un truc merdique T__T Jaaaames. Il ne manquait plus que toi. » Hey. Comment qu’y vas aujourdhui le James ? Bien ou quoi ? »Oh. Il avait bien essayĂ© de ne pas y faire attention. Mais quand ils Ă©taient au moins deux, c’était un peu moins Ă©vident. Ça faisait des annĂ©es, et des annĂ©es, plus prĂ©cisĂ©ment sept ans qu’il leur disait de ne pas l’appeler James, et pourtant, le message ne semblait pas s’ĂȘtre rendu aux oreilles de Junie et d’Atreus. Encore moins eux. Ils trouvaient mĂȘme ça drĂŽle. Regardez juste le sourire d’Atreus en ce moment mĂȘme. Sans rire. MĂȘme Xavier avait compris. Bon. Lui, fallait croire que Ian l’avait peut-ĂȘtre un peu forcé  Inutile de savoir comment. La seule qui prenait encore le soin de l’appeler Ian, Ă©tait Alice, et le jeune homme lui en Ă©tait trĂšs reconnaissant. L’anglais serra lĂ©gĂšrement les dents sans que ça paraisse, une lĂ©gĂšre lueur d’agacement passa dans son regard foncĂ© et se contenta d’écouter la rĂ©ponse du jeune irlandais, Ă  propos de celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom-car-ça-nous-fait-vomir. xD Mais juste avant, il remarqua qu’Alice s’était Ă©clipsĂ© le temps de quelques secondes, pour en ressortir avec un boule de papier, mais il n’en dit pas moins. P'tin. J’te jure, s’il nous refait l’mĂȘme coup que l’annĂ©e derniĂšre, j’vais pas pouvoir me retenir
 »À son tour, un petit sourire en coin apparu sur les lĂšvres du septiĂšme annĂ©e. Quand les deux jeunes hommes s’y mettaient ensemble, rarement on revenait pour continuer Ă  les agacer. Xavier a lui tout seul devait ĂȘtre le garçon le plus narcissique de Serdaigle. Il se prenait carrĂ©ment pour un prince. Il ne fallait pas que ça soit trop ci. Il ne fallait pas que sa nourriture soit trop froide. Il fallait toujours qu’il y ait quelqu’un Ă  son service. Et surtout, il ne fallait pas dĂ©ranger MONSIEUR durant ses prĂ©cieuses heures de sommeil, oh ! Ian suivit du regard son pote qui lançait sa fameuse lame ensanglantĂ©e de son ami sur la table. Mille et une fois, il avait tentĂ© de l’aider, mais ça l’avait Ă©tĂ© sans succĂšs. Soupirant, il jeta un regard vers Junie et Alice, puis, se tourna vers Atreus, poursuivant sa lancĂ©e. Tu t’souviens dans le cours de potion ? Monsieur avait refusĂ© de couper ses propres ingrĂ©dients parce que Monsieur ne voulait pas s’tĂącher les mains
 » Le jeune homme passa une main dans ses cheveux, ce qui fit tomber le capuchon sur ses Ă©paules. Il se mit Ă  faire tourner le petit livre entre ses mains, observant chacun de ses amis. Ils Ă©taient tous rĂ©unis autour du feu, chacun installĂ© sur un fauteuil. Atreus et Ian d’un cĂŽtĂ©. Junie et Alice de l’autre. N’étaient-ils pas un beau petit groupe ? Deux gars, deux filles. Leur petit rassemblement noctune. Je compatis »Le bleu et argent tourna son regard foncĂ© vers la sixiĂšme annĂ©e. C’était lui, qu’elle regardait. Il lui rendit doucement son sourire, avant d’hausser les Ă©paules. Cette annĂ©e, ils ne se laisseraient pas faire. Mais pas du tout. Ça, il aurait pu le jurer haut et fort. Xavier s’en donnait Ă  cƓur joie de parler contre tout le monde. Alice ne leur avait rien dit, mais Ian savait pertinemment qu’elle avait eu Ă  faire avec lui. Combien de fois Xavier en avait-il parlĂ© durant les cours de Ian et cie ? Si ça n’aurait pas Ă©tĂ© d’un minimum de contrĂŽle, Ian lui aurait facilement parlĂ© Ă  deux pouces du visage. Ce type allait dĂ©cidĂ©ment trop loin. Pourtant on se demandait bien ce qu’il faisait chez les Serdaigle, Ian ne lui avait jamais trouvĂ© la moindre parcelle d’intelligence dans ce qui pouvait lui servir de cerveau. Silence. Changement de sujet. Mais il ne savait pas trop quoi dire. Il tourna son regard vers les flammes, Ă©coutant le silence. Il se pencha lĂ©gĂšrement pour lancer le petit livre rouge sur la petite table qui se trouvait au cĂŽtĂ© d’Atreus. Étrangement, le bouquin ne fit pas de bruit et se contenta de glisser sur la table. Il arrĂȘta son chemin lorsqu’il percuta la lame et sans plus. Ian se replaça contre le dossier. En ce moment mĂȘme, Atreus et lui, faisait un duo d’enfer. Les deux mecs Ă©craser dans leurs coussins
 Il se contenta de lancer sa baguette dans les airs et de la rattraper. Lorsqu’elle Ă©tait dans la hauteur, sa baguette faisait quelques cercles, et retombait dans la main du bleu et argent. C’était une de ses nuits oĂč il pouvait parfois se passer de nombreux silences. Personne ne disait rien et d’un cĂŽtĂ©, c’était peut-ĂȘtre mieux ainsi. Qui allait ĂȘtre le prochain Ă  briser ce moment silencieux ? Natalia J. NewberryNombre de messages 22Date d'inscription 05/11/2007Sujet Re Everybody's Changing - Libre Sam 10 Nov 2007 - 1813 Natalia vit Atreus soupirer, et lever les yeux au ciel. Elle le fixa alors de son regard bleu tel l'ocĂ©an, elle ne comprenait pas qu'il ne lui dise pas qu'il allait faire une vadrouille dans Poudlard la nuit. C'Ă©tait ce gĂ»t de l'adrĂ©naline, de la peur, de la fuite, qui plaisait tant a Natalia. Le fait de se rendre compte que l'on ai vivant. Silence. Elle ne dĂ©crocha pas un seul regard, jusqu'a ce que celui ci pose un couteau ensanglantĂ© sur la table qui se trouvait devant eux. Silence. Du sang. Son sang ? Elle eu la rĂ©ponse a sa question pas plus de quelques secondes plus tard, lorsque Atreus releva les manches de son pull, et qu'elle vit alors de longues et fines coupures sur ses avant bras. Il avait recommencer. Il lui avait pourtant promis. Silence. Elle lui adressa alors un regard noir, mais avant qu'elle ai pu riposter, Ian avait fait son entrĂ©e a son tour dans la salle commune. Puis tout s'enchaina trĂšs vite, instinctivement, elle reporta son regard sur Alice, lui adressant un regard doux, et un sourire chaleureux. Silence. Elle ne comprennait tout ce qui se passait, elle Ă©tait dans ses pensĂ©es, Natalia le voyait bien. Silence. Elle n'en dit pas un mot cependant jusqu'a ce que la conversation reprenne son fil. Elle vit que les deux jeunes se plaignaient de quelqu'un. P'tin. J’te jure, s’il nous refait l’mĂȘme coup que l’annĂ©e derniĂšre, j’vais pas pouvoir me retenir
 »Natalia fronça les sourcils, elle ne voyait pas encore de qui il parlait, mais rien que le fait qu'il parle de se battre, elle detestait ça. C'Ă©tait tellement puĂ©rile pour elle d'en venir au mains quand on avait la parole, mais soit, les garçons ne rĂ©flĂ©chissent pas comme les filles c'est bien connu. Elle ne rajouta rien, essayant de trouver de qui il parlait. Tu t’souviens dans le cours de potion ? Monsieur avait refusĂ© de couper ses propres ingrĂ©dients parce que Monsieur ne voulait pas s’tĂącher les mains
 » Toutes ces paroels commencaient a faire leurs petit bout de chemin dans le cerveau de Natalia. A prĂ©sent, elle voyait de qui il parlait. Xavier. Qui d'autre pouvait ĂȘtre aussi chiant ? Elle ne comptait mĂȘme plus le nombre de fois oĂč, il lui avait demander d'explorer son lit, alors qu'elle allait voir James et Atreus dans leur dortoir. A chaque fois ca terminait de la mĂȘme façon, celle ci soupirait lui explicait que mĂȘme si c'Ă©tait son seul choix, elle prĂ©fĂ©rait se faire lesbienne, puis celui ci devennait grossier, et soit Atreus soit James, finissait par lui cogner dessus. Je compatis »Natalia afficha alors un regard compatissant a Alice. Elle l'avait retrouver dans un de ses Ă©tats ce jour lĂ . Elle avait Ă©tĂ© tellement en colĂšre qu'il parle comme ca a sa meilleure amie, a son Alice, qu'elle Ă©tait montĂ©e directement dans le dortoir et lui avait collĂ©e sa main sur sa joue. C'Ă©tait la seule et unique fois dans sa vie que Natalia avait portĂ©e la main sur quelqu'un. Silence. Elle se leva alors pour se rapprocher du feu. Mettant ses mains a quelques centimĂštres des flammes, elle retourna sa tĂȘte vers ses trois amis avant de prendre a son tour la parole. Quel con. J'le deteste, et le pire c'est qu'il croit que je suis sa pote. C'est toujours Junie chĂ©rie par lĂ , ma Junie par ci. Et a chaaaaque fois, il faut que je lui rĂ©pĂšte, que moi c'est Natalia. »Elle soupira et montra un air exaspĂ©rĂ© sur son visage, avant d'exploser de rire. Silence. Une Natalia en colĂšre, ce n'est vraiment pas quelque chose de positif pour la personne qui est dans son champs de mir. Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo dĂ©jantĂ© et SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Dim 11 Nov 2007 - 205 Atreus avait sentit la lĂ©gĂšre tension de Junie lorsqu’il lui avait montrĂ© ses bras mutilĂ©s. Oui. Je sais. Ca ne lui plaisait pas. Ni d’ailleur Ă  Ian et Alice. Il le savait. Il avait entendu leurs paroles d’aide et leurs essais de le convaincre d’arrĂȘter. Et voilĂ  comment il remerciait ses amis en continuant. T’es vraiment qu’un sale con Atreus. » Il l’entendait cette voix dans sa tĂȘte. Il l’entendait mais ne faisait rien. C’était plus fort que lui. C’est tout. Une sorte d’addiction Ă  la scarification. Mais en voyant ses mais Ă  ses cĂŽtĂ©s, Alice, Junie, Ia,, il sentit vraiment le pincement au cƓur qui apparut. Il baissa la tĂȘte doucement et son regard mĂ©lancolique se perdit dans l’ocĂ©an des flammes. La voix d’Alice le sortit de sa torpeur - Atreus, la prochaine fois que tu fais une virĂ©e nocturne, dis le moi
enfin bon, si tu veux bien de moi, bien sĂ»r » L’Irlandais sourit doucement avant mĂȘme de tourner la tĂȘte vers elle. Il lui adressa un regard chargĂ© de tendresse, d’affection avant de lui rĂ©pondre. Atreus - Pas d’problĂšme Alice. T’sais bien que je pourrai pas te dire non. » - Il dĂ©tourna le regard vers Junie, tout en gardant son lĂ©ger sourire - Tu pourras nous accompagner Junie. Toi aussi Ian. Nan vraiment j’voulais ĂȘtre seul ce soir pour
 Pour c’que vous savez. Vous n’aurez pas apprĂ©cier ça de toute façon. » La voix du Serdaigle se tut. Silence. Il regarda ses coupure Ă  la lueur du feu. Les plaies brillantes Ă©taient nettement visible. Soudain, tout lui parut stupides. C’était vrai. Il fallait le dire. C’était complĂštement con ce qu’il faisait. Sa conscience tordu et maligne choisit bien-sĂ»r ce moment pour lui faire rappeler le bonheur que cela procurait. Oui. Ca aussi c’était vrai. Une fois de temps en temps. Seulement. C’était ça qu’il devrait faire. C’est ce qu’il lĂącha sans prĂ©ambule. Atreus - J’vais me calmer de ce cĂŽtĂ©-là
 Pour vous. » Atreus Ă©tait conscient qu’il aurait du prendre cette dĂ©cision depuis des annĂ©es. La volontĂ©. C’était ça qu’il l’avait empĂȘchĂ©. La volontĂ© d’arrĂȘter ne lui Ă©tait jamais venu. Jamais. MĂȘme pas pour eux. Il secoua la tĂȘte doucement. Allez. On oublie ça. La soirĂ©e Ă©tait belle, agrĂ©able. Il n’avait aucune envie de plomber l’ambiance avec ses petits problĂšmes merdiques, sans intĂ©rĂȘts. La discussion Ă©tait en c’moment sur Xavier. Ce connard. Ian Ă©voquait le cours de potion. Tsss. A ce souvenir, mĂȘme sa mĂ©lancolie passagĂšre disparu. Comment qu’il le dĂ©testait c’gars. Ce dernier s’en apercevait bien mais persistait Ă  toujours faire son grand ». Combien de fois Ian et lui l’avait cognĂ© ? Il se tenait tranquille envers eux mais voilà
 A chaque fois il remettait ça sur n’importe qui. MĂȘme Alice y avait eu droit. Ce jour-lĂ , le trio Ian-Junie-Atreus avait eu du mal Ă  ne pas l’écorcher vif. L’Irlandais s’aperçu qu’il avait serrĂ© les poings, les jointures nettement visible et blanche. Il desserra ces derniers avant d’entendre Junie profĂ©rait sa colĂšre, elle-aussi contre Xavier. Junie - Quel con. J'le deteste, et le pire c'est qu'il croit que je suis sa pote. C'est toujours Junie chĂ©rie par lĂ , ma Junie par ci. Et a chaaaaque fois, il faut que je lui rĂ©pĂšte, que moi c'est Natalia. » Le ton tellement exaspĂ©rĂ© de la jeune femme fit naĂźtre un sourire sur le visage d’Atreus. Junie et ses rĂ©actions crĂ». Il l’adorait. Fallait dire aussi que leur caractĂšre Ă©taient lĂ©gĂšrement semblables. Autant elle ne passait pas aux mains comme le faisait trop souvent l’irlandais, elle n’était pas la derniĂšre Ă  dire ce qu’elle pensait. Bref. Le silence avait repris ses aises. Voulant changer de sujet, sachant pertinemment que si ça continuait comme ça il pourrait pas s’empĂȘcher d’aller frapper l’autre con de Xavier, Atreus avisa le bouquin qu’avait jetĂ© Ian sur la table, prĂȘt de sa lame. Un regard interrogatif sur la couverture unie et nue, avec seulement une sorte de dessin Ă©trange. Avec un air intĂ©ressĂ©, il montra de la tĂȘte le livre Ă  James. Atreus - Ca traite de quoi ton bouquin Ian ? Bon. Ce n’était peut-ĂȘtre pas le mieux Ă  demander pour changer de sujet mais c’est tout ce qu’il avait trouvĂ©. De plus, le motif du bouquin l’attirait. Étrangement
 Alice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accĂ©lĂ©rer quand mĂȘmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Dim 11 Nov 2007 - 1253 Comment expliquer ça ? Qu’en si peu de temps, qu’en quelques secondes, Alice s’était mise Ă  sourire. C’était son premier vrai » sourire de la soirĂ©e, et elle sentait que ça n’allait pas ĂȘtre le dernier. Ian lui lança un sourire, qu’elle lui rendit immĂ©diatement. Puis Atreus prit une bonne rĂ©solution, qu’il n’avait pas prise avant se calmer. La jeune Serdaigle lui lança un sourire, elle savait qu’il y arriverait, et de toute façon, elle serait lĂ  pour l’épauler
tous serait lĂ  pour l’aider. Et puis ils se remirent Ă  parler de Xavier
 Alice Ă©tant la plus petite des Quatre, il avait facile Ă  lui pourrir l’existence. Un jour, il avait mĂȘme rĂ©ussit Ă  la bloquer dans un coin pour lui dire ses quatre vĂ©ritĂ©s, forçant un peu trop au goĂ»t d’Alice sur les mots tu viendras dans mon lit » et t’es vraiment nulle ». Mais la jeune SixiĂšme AnnĂ©e ne s’était pas laissĂ©e faire, elle lui avait simplement foutus une gifle, histoire qu’il se calme un peu. Depuis, elle avait plus le droit aux menaces et aux regards noirs, mais maintenant, elle Ă©tait habituĂ©. Il avait sĂ»rement raison elle Ă©tait bonne Ă  rien, mais la seule chose qui Ă©tait sĂ»re, c’est que quoi qu’il dise, il avait toujours Junie, Atreus et Ian sur le dos – ce qui Ă©tait toujours marrant, d’ailleurs. Soupirant rien qu’en y repensant, la jeune Brown Ă©couta attentivement la phrase de sa meilleure amie. En quelques secondes, Alice s’était mise Ă  rire, un rire presque inaudible qu’on remarquait grĂące Ă  son sourire. Pour l’enfoncer encore plus, ça, Junie Ă©tait toujours lĂ  ! Elle non plus ne pouvait pas le voir en peinture, pourtant, c’était loin d’ĂȘtre rĂ©ciproque
 Un jour je l’ai surpris en train de dire "Junie ? Je vais me la faire avant la fin de l’annĂ©e !" Ce type est tellement bĂȘte qu’il ne voit mĂȘme pas que personne ne l’aime, mĂȘme ses propres amis ne peuvent pas le voir
 Et j’en sais quelque chose, j’ai eut l’occasion de parler avec Jesse, et il m’a dit qu’à chaque fois que Xavier m’insultait, il me dĂ©fendait. Et vous saviez que son ancienne petite amie l’a trompĂ© avec Peter, son sois disant grand ami ?! Quand on me l’a dit, j’étais plié  C’est la preuve que, quand mĂȘme, on n’est pas les seuls Ă  ne pas pouvoir le voir en peinture. D’ailleurs, ce type, je me demande comment il a pu sortir avec des filles
Rien qu’en y pensant, ça me donne envie de vomir. »Les rumeurs et les comĂ©rages. Ca, s’était le domaine d’Alice et Junie. Bon, sĂ»rement pas de Ian et d’Atreus, mais des fois il y en avait des trĂšs drĂŽle qui circulait. Tout en regardant Junie, la jeune bleu et argent frissonna. Il faisait chaud, oui, surtout grĂące au feu mais il y avait toujours un petit courant d’air glacial
 Il Ă©tait tard, mais la fatigue ne se fit pas ressentir. Ses yeux gris Ă©taient encore grand ouverts, se posant sur tout et n’importe quoi. Elle repensait Ă  Atreus qui lui avait dit, quelques minutes plus tĂŽt, qu’il ne pourrait pas lui dire non pour une virĂ©e nocturne. Elle s’imaginait dĂ©jĂ  y aller avec eux depuis la rentrĂ©e, elle n’en avait fait que deux. Habituellement, c’était rare quand elle n’en faisait pas, mais lĂ , c’était carrĂ©ment le contraire. Mais stop, elle verrait ça demain en se levant. Il ne fallait pas gĂącher ce si bon moment. Le silence s’imposa durant quelques secondes, des secondes oĂč le cƓur de la jeune Alice battait la chamade. Ses mains tremblaient, puis s’arrĂȘtaient, puis elle recommençaient
c’était un cercle vicieux, et elle ne savait pas quel Ă©tait la cause de ses tremblements soudains. Mais elle cessa d’y penser qu’en la voix d’Atreus retentit. Il cassa le silence avec douceur, surprenant la jeune Alice, qui ne s’en doutait pas. Le regard Ă  prĂ©sent dirigĂ© vers Atreus, elle l’écouta, comme les autres. Ca traite de quoi ton bouquin Ian ? »La jeune Brown dirigea immĂ©diatement son regard vers le livre de Ian. Sa couverture Ă©tait Ă©trange, avec une inscription qui capturait votre regard en quelques instants. Sa couleur unie vous scotchĂ© sur votre canapĂ©, oui, c’était sĂ»r ce livre attirĂ© l’Ɠil. A sa vue, Alice se dit qu’elle devrait passĂ© plus souvent de temps Ă  la BibliothĂšque. C’est vrai ça, elle n’y allait jamais Ă  part quand elle devait y rejoindre quelqu’un, mais Ă  chaque fois qu’elle y mettait les pieds, elle Ă©tait forcĂ©e. Sourire. Alice se tourna vers Junie, puis vers Puck’ qui ronronnait toujours autant sur ses genoux. A prĂ©sent, elle se voyait trĂšs mal dormir comme lui, surtout maintenant
 James Re Everybody's Changing - Libre Sam 17 Nov 2007 - 2206 HRP _ DĂ©solĂ© du retard. Quel con. J'le deteste, et le pire c'est qu'il croit que je suis sa pote. C'est toujours Junie chĂ©rie par lĂ , ma Junie par ci. Et a chaaaaque fois, il faut que je lui rĂ©pĂšte, que moi c'est Natalia. »Le Serdaigle fixait Natalia de son regard foncĂ©, un lĂ©ger sourire sur les lĂšvres, suite au comportement de cette derniĂšre. Ce type avait vraiment le don de se mettre les pieds dans les plats, et malheureusement, il se heurtait souvent Ă  des personnes plus fortes que lui. Pourtant le message ne semblait jamais se rendre au cerveau du fait qu’il ne fallait pas se moquer de Atreus, James et Natalia en particulier. C’était probablement ceux qui n’avaient aucunement peur des consĂ©quences qui pouvaient y avoir s’ils osaient touchĂ©s Xavier. Il Ă©tait une sorte de dĂ©fouloir au final
 Bref. Les deux bleues et argents, Natalia et Alice s’étaient mis Ă  rire, et Ian observa la sixiĂšme annĂ©e lorsqu’elle prit la parole. Un jour je l’ai surpris en train de dire "Junie ? Je vais me la faire avant la fin de l’annĂ©e !" Ce type est tellement bĂȘte qu’il ne voit mĂȘme pas que personne ne l’aime, mĂȘme ses propres amis ne peuvent pas le voir
 Et j’en sais quelque chose, j’ai eut l’occasion de parler avec Jesse, et il m’a dit qu’à chaque fois que Xavier m’insultait, il me dĂ©fendait. Et vous saviez que son ancienne petite amie l’a trompĂ© avec Peter, son sois disant grand ami ?! Quand on me l’a dit, j’étais plié  C’est la preuve que, quand mĂȘme, on n’est pas les seuls Ă  ne pas pouvoir le voir en peinture. D’ailleurs, ce type, je me demande comment il a pu sortir avec des filles
Rien qu’en y pensant, ça me donne envie de vomir. »Si l’on sort du contexte de MĂ©faits Accomplis. J’aurais pu vous dire que Xavier Ă©tait le portrait crachĂ© de Malefoy, mais Ă  Serdaigle. Prenez ce comportement et transposĂ© le sur Xavier et ça reviendra au mĂȘme. Retournons au RP Ă  prĂ©sent. Un nouveau sourire apparu sur les lĂšvres du septiĂšme annĂ©e, avant d’échanger, Ă  nouveau, un air complice avec son ami, Atreus. En effet, les potins n’étaient pas spĂ©cialement le domaine des garçons, mais les rumeurs circulaient toujours aussi rapidement dans l’école de sorcellerie. Ian n’était pas le type qui allait en raconter, mais plutĂŽt Ă©couter. Par exemple, lorsqu’il attendait quelqu’un dans les couloirs et qu’un groupe de personnes prĂšs de lui parlent de quelque chose qui pouvait s’avĂ©rer intĂ©ressant, il Ă©coutait. Sinon, sans plus. Savoir qu’untel ou untel Ă©tait sortit lui ou l’autre, au final, ça ne changeait strictement rien Ă  sa vie. Mais savoir que Jesse dĂ©fendait Ă©galement Alice, eut une sorte d’effet de soulagement pour le septiĂšme annĂ©e. Pour ce qui Ă©tait de Peter
 Sans commentaire. James tourna, Ă  son tour, le regard vers les flammes, se sentant bien. Parler entre eux, Ă©tait toujours bien agrĂ©able. Sortant un peu de l’habituel Ă©touffant de tous les Ă©lĂšves en plein jour. La nuit Ă©tait une sorte de refuge pour plusieurs. Ca traite de quoi ton bouquin Ian ? »Hum
 Hein ? Quoi ? Ian se redressa lentement et posa, comme tous les autres apparemment, sur son propre bouquin. C’était vrai qu’il Ă©tait Ă©trange, et c’était bien ça qui obsĂ©dait le bleu et argent. Il y avait quelque chose de pas normal, mais il n’arrivait pas Ă  trouver quoi. Et ça, ça l’énervait. Je ne sais pas trop
 C’est assez complexe Ă  vrai dire
 » commença-t-il tout en se levant du fauteuil pour aller reprendre le posa sa main sur le livre et l’attira contre lui, un drĂŽle de phĂ©nomĂšne se produisit. La lame le suivait. Elle glissa sur la table, jusqu’à temps qu’elle tombe sur le sol, alors que Ian Ă©loignait le livre de la table, observant se qui se passait. Il lança un regard perplexe aux trois autres et tourna le livre sur lui-mĂȘme. Sur le cĂŽtĂ©, les pages avaient Ă©tĂ© tĂąchĂ©s lĂ©gĂšrement du sang de la lame, et du coup, on aurait dit que ça agissait comme une sorte d’aimant. Le jeune homme s’accroupit et rapprocha / Ă©loigna le bouquin de la lame, qui elle, avançait toujours plus vers le livre, et vers Ian par le fait mĂȘme. Ok
 Ça, c’est pas normal
 »Petite expĂ©rience. Il fit glisser rapidement le livre contre le sol, qui partit quatre ou cinq mĂštres plus loin. La lame tourna sur elle-mĂȘme et, comme je l’ai dit, comme un aimant, elle glissa Ă  la vitesse de la lumiĂšre juste Ă  cĂŽtĂ©, mais sans y toucher, manquant de couper Ian au passage. Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Everybody's Changing - Libre Everybody's Changing - Libre Page 1 sur 1 Sujets similaires» [alone...~libre]» You'll Ask For Me - Libre.» We Had A Bad Day... [Libre]» A l'air libre» Promenade [Libre]Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumMÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RPSauter vers Danstes visions rĂȘveuses FiĂ©vreuses et dĂ©formĂ©es Quand tes cernes se creusent Tous les mots sont figĂ©s Larme blanche au fond des yeux Larme blanche ou larme Ă  feu Larme blanche pas d'accord Larme blanche Ă  mort Larme blanche pas d'accord Le regard dans la neige Tu as chaud tu as froid Plus rien ne te protĂšge MalgrĂ© toi malgrĂ© moi Paroles de la chanson Rien Qu'une Larme par Mike Brant Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule rĂ©ponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux J'Ă©tais certain cette fois Que rien ne me retiendrait On se trompe quelquefois Une larme a tout changĂ© Rien qu'une larme dans tes yeux Et soudain je rĂ©alise Je rĂ©alise que de nous deux C'est moi le plus malheureux Par ma faute, trop de fois, Mon amour tu as pleurĂ© J'ai voulu partir cent fois Et cent fois je suis restĂ© Rien qu'une larme dans tes yeux Je comprends combien je t'aime Je t'aime et je veux te le dire Je veux te revoir sourire ... Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule rĂ©ponse Rien qu'une larme dans tes yeux Je veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeux Je comprends combien je t'aime
Rienqu'une larme dans tes yeux. 5,492 likes · 2 talking about this. Sur cette page sera publié des citations, des poÚmes, des paroles de chansons,. Objectif: 10000 likes Liker un
Rien qu’une larme dans tes yeuxC’est toujours ta seule rĂ©ponseQuand je te dis qu’il vaudrait mieuxNe plus se revoir nous deux J’étais certain cette foisQue rien ne me retiendraitOn se trompe quelquefoisUne larme a tout changĂ© Rien qu’une larme dans tes yeuxEt soudain je rĂ©aliseJe rĂ©alise que de nous deuxC’est moi le plus malheureux Par ma faute, trop de fois,Mon amour tu as pleurĂ©J’ai voulu partir cent foisEt cent fois je suis restĂ© Rien qu’une larme dans tes yeuxJe comprends combien je t’aimeJe t’aime et je veux te le direJe veux te revoir sourire 
 Rien qu’une larme dans tes yeuxC’est toujours ta seule rĂ©ponse Rien qu’une larme dans tes yeuxJe veux te revoir sourire Rien qu’une larme dans tes yeuxJe comprends combien je t’aime
Rienqu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule rĂ©ponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux J'Ă©tais certain cette fois Que rien ne me retiendrait On se trompe quelquefois Une larme a tout changĂ© Rien qu'une larme dans tes yeux Et soudain je rĂ©alise Je rĂ©alise que de nous deux C'est moi le plus malheureux Paroles de la chanson Rien Qu'une Larme par InterprĂšte Inconnu Je pourrais faire semblant, mais le cƓur n’y est plus. Mentir encore longtemps mĂȘme si tout est foutu. Le temps a fait sa route, puisque l’amour n’est plus. Il nous reste les doutes, l’avenir suspendu. Je pourrais faire semblant, semblant d’y croire encore. De croire Ă  ces amants que la passion dĂ©vore. A tes bras me serrant avant que je m’endorme. Mais tes yeux sont fuyants, ne me regardant plus. Rien qu’une larme, Un peu de tristesse dans mes yeux, Qui te dĂ©sarme. Le cri de mon cƓur en silence. Rien qu’une larme, Comme une blessure qui nous Ă©loigne, puisque tu pars. J’ai peur de l’évidence. Tu me laisseras. J’en ai fait des efforts, Trop longtemps attendu. Notre amour est bien mort, mais tu ne l’as pas vu. Si tel est notre sort, je n’aimerai plus jamais plus. Je n’ai aucun remords, si tu m’aimes plus. Rien qu’une larme, Un peu de tristesse dans mes yeux, Qui te dĂ©sarme. Le cri de mon cƓur en silence. Rien qu’une larme, Comme une blessure qui nous Ă©loigne, puisque tu pars. J’ai peur de l’évidence. Tu me laisseras. Rienqu'une larme dans tes yeux xXxNightangelxXx. Envoyer un message; Offrir un cadeau; Suivre; Bloquer; Choisir cet habillage ; Partage. Tweet; Amis 0; Design by lequipe-skyrock Choisir cet habillage. Signaler un abus. Infos. CrĂ©ation : 31/01/2008 Ă  14:20; Mise Ă  jour : 14/01/2009 Ă  15:33; 32 articles; 20 commentaires. 2 amis; 3 favoris; Ses archives (32) Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson â€ș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă  cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă  l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart â€ș A Stuart â€ș Aylin Stuart â€șrĂ©ponses rps 81 Back to 4 Juin - 2355 BACK TO YOU❊ Tu Ă©tais au travail, une journĂ©e comme les autres pour toi. Tu avais depuis quelque temps beaucoup pensĂ© Ă  ta mĂšre, Ă  pouvoir la rencontrer d'une certaine maniĂšre. Tu avais pris le temps de faire pas mal de recherche et tu avais concoctĂ© un breuvage prĂ©vu Ă  cet effet. Heureusement, tu avais Charlie avec toi au magasin qui pouvait te permettre de te concentrer sur ton projet tandis qu'elle s'occupait des clients. AprĂšs tout, en ce qui concernait tout ce qui touchait aux potions et autres breuvages, tu savais que tu ne pouvais pas douter des capacitĂ©s de ton employĂ©. Tu savais qu'elle Ă©tait une sorciĂšre bien que tu ne lui avais jamais dit. Tu Ă©tais avec un client en train de le conseiller tandis que la blonde Ă©tait derriĂšre le comptoir. Tu avais rĂ©ussi Ă  satisfaire la demande de ton client et ce dernier s'en alla vers la caisse tandis que la cloche du magasin sonna, indicateur qu'une nouvelle personne entra dans l'Ă©tablissement. Tu Ă©tais tellement ravie que ton magasin soit si populaire et que tu ne sois pas en manque de clients. Enfin, il faut dire qu'avec une ville comme Tulsa, berceau des mystĂšres de la vie, berceau du royaume de la nuit. Tu allas donc voir le client en question quand tu vis cet homme, ton cƓur eu un ratĂ©. Il Ă©tait tellement beau, comme si, d'une certaine maniĂšre, tu le connaissais. Sa beautĂ© et sa prestance te frappĂšrent en premier lieu tandis que tes joues se rĂ©chauffĂšrent et que ton cƓur cognait ardemment dans ta poitrine. Cela te perturba davantage Ă©tant donnĂ© dont cela ne t'Ă©tait pas arrivĂ© depuis la mort de ton fiancĂ©, mort que tu venais rĂ©cemment d'en faire le deuil. Tu avais pris l'habitude de perdre tes proches depuis tes parents et celui que tu aimais. Tu repris rapidement contenance Monsieur, puis-je vous aider ? » Fis-tu alors en souriant grandement tandis que ton esprit continuait de chercher d'oĂč est-ce que tu avais bien pu le connaĂźtre pour que ce visage te sois si familier Vous cherchez quelque chose en particulier ? » Repris-tu alors en essayant d'ĂȘtre le plus professionnel possible. Tu Ă©tais aprĂšs tout la patronne des lieux et il serait dĂ©placĂ© qu'en tant que dirigeante, tu ne puisses pas ĂȘtre maĂźtresse de toi-mĂȘme en ce lieu. Bien que tu savais que Charlie pour t'occuper des autres clients. ⇜ code by bat'phanie ⇝ AĂ«lynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rĂȘves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittĂ©e et qui ont changĂ© mes idĂ©es ils se sont infiltrĂ©s en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altĂ©rĂ© la couleur de mon esprit. InvitĂ© InvitĂ© Re Back to 5 Juin - 047Back To YouFeat AĂ«lynn & Alexys☟☟ La journĂ©e avait Ă©tĂ© longue. Trop longue mĂȘme. Alexys avait enchaĂźnĂ© plusieurs gardes. Les malades continuaient d'affluer et le travail ne se faisait pas attendre. Cela faisait 72 heures qu'il n'avait pas quittĂ© les locaux de l'hĂŽpital. Heureusement pour lui, personne ne l'attendait Ă  la maison. Son cousin Ă©tant parti en voyage, Alexys avait tout le loisir de s'atteler Ă  ce qu'il savait faire le mieux Aider les humains. Bien qu'Ă©tant un vampire qui s'abreuvait du sang des ĂȘtres humains, il avait Ă  cƓur d'essayer par tous les moyens possibles de les sauver. Ces derniers jours, une patiente en particulier, avait retenu son intention. C'Ă©tait une petite mamie, pas plus vieille que la sienne. Elle Ă©tait tombĂ©e dans la rue. Rien de bien grave, si ce n'est une belle fracture du fĂ©mur. La dame avait quittĂ© les urgences pour le service de chirurgie orthopĂ©dique depuis un moment, mais Alexys passait chacune de ses pauses Ă  ses cĂŽtĂ©s. Le jeune homme aimait beaucoup sa compagnie. Depuis qu'il Ă©tait revenu Ă  Tusla, sa vie Ă©tait bien solitaire, sa grand-mĂšre Ă©tant restĂ©e en Irlande. Avoir cette petite dame dans les parages, lui faisait beaucoup de bien. Alexys s'Ă©tait mĂȘme surpris Ă  lui parler un peu de sa vie. Bien sĂ»r, il Ă©tait loin de lui avouer son petit secret, mais leurs conversations l'amusaient. Alors qu'Alexys quittait l'enceinte de l'hĂŽpital, l'un de ses collĂšgues le rattrapa. La petite mamie avait besoin d'huile de lavande et de citron pour son diffuseur qu'elle emmenait toujours avec elle. Il Ă©tait vrai que le jeune homme s'Ă©tait proposĂ© pour lui en ramener au besoin mais ... Pourquoi aujourd'hui ? Il avait tellement Ă  faire. Et puis, oĂč allait-il trouver ça ? Tusla avait bien changĂ© depuis le temps oĂč il y avait vĂ©cu. Pas le choix. Alex s'arma de son tĂ©lĂ©phone et lança une recherche internet. Le nom d'une boutique sortit du lot. Le LusanaĂ«l, 5 minutes Ă  pied. Parfait ! En arrivant devant la devanture du magasin, Alexys s'arrĂȘta. Sortant le petit mot qui lui avait Ă©tĂ© donnĂ© de la part de la mamie, il tenta de se rappeler des huiles pour lesquelles, il se trouvait ici. Quand cela fĂ»t encrĂ© dans sa mĂ©moire, il pris une grande inspiration et entra. A l'intĂ©rieur, il y avait des gens mais pas non plus la cohue. Les vendeuses avaient l'air occupĂ©e donc il patienta sagement en regardant les diffĂ©rentes pierres. Alexys n'Ă©tait pas friand de ce genre de croyance, mais cela ne l'empĂȘchait pas de les trouver jolies Ă  regarder. D'ailleurs, en parlant de jolie Ă  regarder ... Son regard fĂ»t attirĂ© par l'une des vendeuses. La brunette. AĂ«lynn. Mais que faisait-elle lĂ  ? A premiĂšre vue, elle semblait travailler ici. Dommage. Alexys eu bien envie de fuir devant la dĂ©couverte, mais trop tard, la brunette se dirigea dĂ©jĂ  vers lui pour le renseigner. Quand AĂ«lynn lui demanda si elle pouvait l'aider, Alexys resta stoĂŻque ... Comme paralysĂ©. Pour ĂȘtre honnĂȘte, il ne s'attendait pas Ă  tomber sur elle. Autrefois, il l'aurait bien envoyĂ© balader mais aujourd'hui, l'enjeux avait changĂ©. Le jeune homme devait absolument se reprendre. Et son sourire ... Oh misĂšre. " Je ... Hum ... A vrai dire ... Oui. J'aurai besoin d'huiles essentielles de lavande et de citron, s'il vous plait. "Ce ton embarrassĂ© ne lui convenait vraiment pas, mais que faire ? La brunette ne semblait pas le reconnaĂźtre. A vrai dire, il sentait une pointe de dĂ©ception lui parcourir les veines. Depuis son retour, le jeune homme ne s'Ă©tait jamais vraiment approchĂ© de la jeune femme, l'observant de loin, comme un vieux pervers. Si dans sa jeunesse, elle ne l'avait jamais intĂ©ressĂ©, aujourd'hui, la donne avait changĂ©e. Quelque chose qu'il ne pouvait expliquer l'attirer inĂ©vitablement vers elle. Sortant de sa stupeur, Alexys tenta une petite approche furtive afin de voir si la brunette ne gardait pas quelques souvenirs du petit garçon qu'il avait Ă©tĂ©, il fĂ»t un temps." Vous me rappelez beaucoup une jeune fille que j'ai connu, il y a quelques annĂ©es ... "DĂ©routant. Ca l'Ă©tait. CODAGE PAR AMATISDerniĂšre Ă©dition par Alexys Ellis le Mer 17 Juin - 026, Ă©ditĂ© 1 fois Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson â€ș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă  cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă  l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart â€ș A Stuart â€ș Aylin Stuart â€șrĂ©ponses rps 81 Re Back to 5 Juin - 1151 BACK TO YOU❊ Il Ă©tait vrai qu'en te levant le matin, tu Ă©tais loin de te douter de ce qu'il allait pouvoir se passer dans la journĂ©e, tu avais des talents certes, mais tu n'avais pas le pouvoir de prĂ©monition. Quand bien mĂȘme certains pouvaient le penser, tu n'Ă©tais pas une sorciĂšre. Tu avais acquis l'art des plantes, des runes, des potions... Mais tu n'avais pas de pouvoir magique ou quel autre don. Bien souvent, on l'oubliait, mais tu Ă©tais une chasseuse comme tes frĂšres et sƓurs, enfin, tu l'avais dans le sang. En fronçant les sourcils, tu avais l'impression d'ĂȘtre une cracmol comme dans la littĂ©rature d'Harry Potter, avoir les gĂȘnes, mais pas le pouvoir. Pourtant, tu avais bien la force surhumaine ainsi que l'ouĂŻe, l'agilitĂ©, le rĂ©flexe et la guĂ©rison rapide des chasseurs. Toutes ces caractĂ©ristiques qui te diffĂ©renciaient des simples mortels. Tu secouais la tĂȘte et tu te concentras sur ta tĂąche maintenant que tu avais pus venir en aide Ă  une personne, c'est Ă  ce moment-lĂ  que la cloche retentit, indiquant qu'un nouveau client entra dans ton magasin. Et lĂ , comme si plus rien existait autour de toi, tu ne voyais que lui. Ce grand blond, les cheveux bouclĂ©s et les yeux d'un bleu ocĂ©an tel qu'on pourrait s'y noyait. Ton cƓur dĂ©jĂ  conquis Ă  cette simple vision, cela te perturbait au plus au point et pour cause, premiĂšrement tu Ă©tais certaines de le connaĂźtre, ton Ăąme peut-ĂȘtre ? Il est dit que certaines Ăąmes sƓur pouvaient se reconnaĂźtre instantanĂ©ment, mais tu savais bien que c'Ă©tait autre chose. DeuxiĂšme, c'Ă©tait bien l'unique et premiĂšre fois que ton cƓur battait de la sorte et depuis la mort de ton fiancĂ© jamais tu ne l'aurais cru possible.... D'autant plus, que d'aussi loin que tu t'en souviennes, mĂȘme pour ce dernier, il n'avait jamais bats de la sorte. Tu t'en voulais instantanĂ©ment, mais aprĂšs tout, tu Ă©tais libre et tu ne le lui devais plus rien maintenant qu'il Ă©tait parti rejoindre l'au-delĂ , que son Ăąme s’apprĂȘtant Ă  habiter un autre corps. Car oui, tu croyais en la rĂ©incarnation, tout comme en Karma... Sinon, comment cela pouvait ĂȘtre possible qu'autant de malheur s'abatte sur toi ? Si ce n'est que tu devais ĂȘtre une horrible personne dans ta vie antĂ©rieure. Enfin, calmant ton cƓur fougueux et reprenant tes esprits, tu fis ton devoir de vendeuse et te renseignant sur la demande de ton client C'est pour quel usage ? Demandas-tu ? » Te renseignas-tu donc Nous allons avoir de la citronnelle de Java pour ce qui recommandĂ© pour d'arthrites, tendinites ou rhumatismes ou alors celle de Ceylan plus pour les moustiques ou dĂ©mangeaisons » Fis-tu donc tout en prenant un sachet d'huile de lavande. Tu le regardais, toujours troublĂ©e, fascinĂ©e et attirĂ©e par lui. Tu fronças les sourcils quand il te disait te connaĂźtre. Tu ouvris la bouche puis tu la refermas ne sachant pas quoi dire. Alors peut-ĂȘtre que lui aussi pensait comme toi. Peut-ĂȘtre ressentait-il aussi ce que tu ressentais ? Tu rougis immĂ©diatement Ă  cette pensĂ©e et tu te maudis. Tu Ă©tais pourtant si douĂ©e pour cacher tes Ă©motions habituellement, mais avec lui, c'Ă©tait plus compliquĂ©e Tu vis Ă  Tulsa depuis longtemps ? » Demandas-tu bien que dans ta mĂ©moire, ce visage et cette allure imposante Ă  ton cƓur, tu l'aurais reconnue. Cependant, tu n'avais jamais quittĂ© cette ville alors tu ne pouvais connaĂźtre que d'ici. ⇜ code by bat'phanie ⇝ AĂ«lynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rĂȘves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittĂ©e et qui ont changĂ© mes idĂ©es ils se sont infiltrĂ©s en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altĂ©rĂ© la couleur de mon esprit. InvitĂ© InvitĂ© Re Back to 5 Juin - 1403Back To YouFeat AĂ«lynn & Alexys☟☟ Pour ĂȘtre tout Ă  fait honnĂȘte. Alexys n'y connaissait strictement rien aux plantes, huiles et autres objets mystiques. Le jeune homme avait bien conscience que les vampires n'Ă©taient pas les seules et uniques crĂ©atures qui existaient et cohabitaient ensemble. Des loups, des sorciĂšres et mĂȘme des chasseurs. Quel beau petit monde. Tout cela, il l'avait dĂ©couvert lorsqu'il avait rĂ©alisĂ© des recherches aprĂšs sa transformation. Tusla semblait compter dans sa population bon nombre de ses crĂ©atures. A l'Ă©poque, il lui avait semblĂ© essentiel de revenir sur sa terre natale afin de dompter sa nouvelle nature. La seule chose qu'il n'avait pas prĂ©vu, c'Ă©tait de devoir dompter la nouvelle nature de son cousin. Grand bien lui fasse, ce dernier avait dĂ©cidĂ© de faire le tour du monde. Un problĂšme de moins dans les environs, c'Ă©tait dĂ©jĂ  pas contre, la deuxiĂšme chose qu'il n'avait pas prĂ©vu, c'Ă©tait que la petite moche d'Ă  cĂŽtĂ© qui aujourd'hui, Ă©tait devenue une trĂšs belle chenille, provenait d'une cĂ©lĂšbre famille de chasseurs. Etant enfant, la famille n'avait pas vraiment d'importance. Mais aujourd'hui, l'histoire Ă©tait tout autre. C'est surement la raison pour laquelle Alexys n'avait jamais vraiment osĂ© s'approcher d'AĂ«lynn. Bien qu'elle l'attirait beaucoup. Tragique existence. Comment faire quand l'objet de vos dĂ©sirs, pouvait se rĂ©vĂ©ler ĂȘtre l'objet de votre perte ? Bien qu'Alexys aie une fĂącheuse tendance aux comportements auto-destructeurs, il n'Ă©tait pas suicidaire pour autant. Leur rencontre aujourd'hui, Ă©tait tout bonnement fortuite. Une simple demande d'une grand-mĂšre qui avait su effleurer le cƓur de pierre du jeune homme. Alors qu'Alexys buvait ses paroles d'une façon trĂšs niaise, la carotide de la jeune femme attira son attention. L'odeur de son sang mĂȘme, l'attirait. Comme un doux parfum dont ses narines, ne pouvaient se dĂ©faire. Quoiqu'il en soit, ses instincts de vampire se devaient de disparaĂźtre aussi vite que l'Ă©clair. Le jeune homme ne pouvait se trahir aussi facilement. Sa main se posa dans sa chevelure blonde, jouant quelques instants avec une boucle afin de donner l'impression d'une rĂ©flexion intensive. Ou pas. " Je pense que la citronnelle de Java fera l'affaire. C'est pour l'une de mes patientes qui a quelques soucis de hanche pour le moment. C'est elle qui m'a demandĂ© de lui en rapporter. Les huiles et les cailloux, ce ne sont pas vraiment mon domaine de prĂ©dilection pour ĂȘtre tout Ă  fait honnĂȘte. "Instant live OK. Oui bon, la petite explication n'Ă©tait pas vraiment nĂ©cessaire, mais Alexys ressentait un rĂ©el besoin de se justifier. Le jeune homme ne voulait pas passer pour un petit ĂȘtre fragile qui avait besoin de ses petites huiles pour soigner des maux de grand-pĂšre et il ne voulait surtout pas que la jeune femme pense qu'une autre femme se cachait sous cette demande. Il Ă©tait bien connu que ce genre de pratique Ă©tait trĂšs souvent fĂ©minine. Se grattant doucement la tĂȘte pour cacher une petite gĂȘne, Alexys se rendit compte que les joues de la jeune femme, avaient rougi Ă  sa question. Cependant, cela fit vite effacĂ© par des sourcils froncĂ©s et une mine qui en disait long. Apparemment, la tĂȘte du jeune homme ne lui disait rien. Dommage. Cela aurait tellement Ă©tĂ© plus simple pour l'aborder. Arriver avec des gros sabots et lui dire Hey Meuf ! Tu me plais. Ça fait un moment que je t'observe Ă  la façon de Joe Goldberg dans la sĂ©rie You. Non. Hors de question. Croisant les bras derriĂšre son dos, Alexys lui servit son plus beau sourire. Ce sourire, il en avait dĂ©jĂ  fait des ravages. C'Ă©tait son meilleur numĂ©ro de charme pour attirer l'attention des jolies filles. Jusqu'Ă  prĂ©sent, cette technique avait toujours portĂ©e ses fruits." Je suis originaire de Tusla mais j'ai dĂ» quitter la ville quand j'Ă©tais enfant pour rejoindre de la famille Ă  l'Ă©tranger. Maintenant, ça doit faire environ deux ans que je suis revenu dans le coin. "AĂ«lynn semblait troublĂ©e par l'interrogation du jeune homme. Ne voulant pas la brusquer puisqu'il avait enfin rĂ©ussi Ă  lui adresser quelques mots, il soupira lĂ©gĂšrement avant de continuer sur sa lancĂ©e." Mais ne vous en faites pas. J'ai surement dĂ» me mĂ©prendre. J'ai connu quelqu'un qui vous ressemblez beaucoup dans ma jeunesse. C'est surement la raison pour laquelle, je vous ai confondue. Veuillez m'excuser pour ma maladresse. " Une petite rĂ©vĂ©rence Ă  la maniĂšre des bourgeois. L'arme ultime de sĂ©duction. CODAGE PAR AMATISDerniĂšre Ă©dition par Alexys Ellis le Mer 17 Juin - 026, Ă©ditĂ© 1 fois Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson â€ș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă  cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă  l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart â€ș A Stuart â€ș Aylin Stuart â€șrĂ©ponses rps 81 Re Back to 6 Juin - 016 BACK TO YOU❊ Et tu Ă©tais lĂ , Ă  faire ton travail de vendeuse tandis que ton esprit et ton cƓur n'Ă©taient plus vraiment lĂ , distrait par la beautĂ© de ce jeune homme. Tu avais du mal Ă  garder contenance et ton sĂ©rieux, mais tu Ă©tais la propriĂ©taire de ces lieux. Alors quand il te parla de ce qu'il voulait, tu sautais sur l'occasion pour parler des produits, cela t'obligeait Ă  ne pas penser Ă  l'impact de ses lĂšvres sur les tiennes, de ses baisers le long de ta nuque. Ce n'Ă©tait pas du tout professionnelle d'une part et d'un autre, tu ne le connaissais mĂȘme pas ce n'Ă©tait pas sĂ©rieux du tout. Tu te mis Ă  rire quand il s'expliqua Effectivement alors, c'est mieux celle de Java » Fis-tu alors Les cailloux, vraiment ? » Repris-tu en levant les sourcils tout en ayant une petite moue amusĂ©. Comment pouvait-il dire cailloux » dans ce genre d'Ă©tablissement Je vous crois quand vous me dĂźtes que vous y connaissez rien » Repris-tu alors toujours le sourire aux lĂšvres tandis que tu t'Ă©loignais de lui dĂ©jĂ  pour lui prendre son huile de Java et ensuite pour pouvoir reprendre tes esprits, cela ne te ferait pas de mal, au contraire. Avant de le rejoindre de nouveau, tu fis un petit dĂ©tour afin de prendre un petit bouquin concernant les runes et les pouvoirs de pierres sur l'environnement, les personnes Peut-ĂȘtre que ceci vous intĂ©resserez ? Si jamais les cailloux vous intrigues » Proposas-tu donc en reprenant exprĂšs son terme afin de la taquiner. Et tout comme le fait qu'il te paraissait si familier, le fait de parler ou bien mĂȘme de plaisanter avec lui Ă©tait comme naturel, comme si vous Ă©tiez des vieux amis de longue date. Et pourtant, ce n'Ă©tait pas le cas. IndĂ©niablement, il y avait un lien entre vous. Et d'ailleurs, ce dernier devait penser la mĂȘme chose puisque tu avais pour lui, la mĂȘme familiaritĂ©, Tulsa Ă©tait une si petite ville. Et comme une dĂ©charge Ă©lectrique, ce sourire. Bien sĂ»r que tu le connaissais, ce cĂŽtĂ© charmeur. Tu compris, tu savais Je n'y peux rien, c'est de ma famille... Si tu voyais celui de mon cousin, il est encore plus diabolique » C'Ă©tait ce que James te disait. James, l'homme avec qui tu Ă©tais, ton premier amour, ton fiancĂ©, qui est mort il y a un moment maintenant. Et comme une dĂ©ferlante de souvenirs de toi enfant, ta meilleure amie, James et son cousin jouant ensemble, son cousin qui t'agaçait Ă  avoir de trop longue jambes pour pouvoir lui courir aprĂšs Alexys ? » Fis-tu avec un mĂ©lange d'affirmations et de questionnement. InstantanĂ©ment, tu reculas, te cognant par la mĂȘme occasion contre le meuble derriĂšre toi. Tu n'avais jamais eu de nouvelle de lui, il n'avait mĂȘme pas dĂ©niĂ© venir Ă  l'enterrement de son cousin, pourtant si proche. Une vague de colĂšre naquit en toi et surtout, un torrent de culpabilitĂ©, comment cela se faisait-il que le seul gars qui avait rĂ©ussis Ă  faire battre de ton cƓur depuis la mort de ton fiancĂ© Ă©tait le cousin de ce dernier. Une petite larme tentait de s'Ă©chapper dans le coin de ton Ɠil. Tu avais l'impression d'ĂȘtre une horrible personne quand mĂȘme. Et pourtant, tu ne pouvais admettre que James avait eu raison Ă  chaque fois, le sourire et le charme d'Alexys Ă©tait bien plus diabolique que celui de James, bien difficile Ă  y rĂ©sister. ⇜ code by bat'phanie ⇝ AĂ«lynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rĂȘves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittĂ©e et qui ont changĂ© mes idĂ©es ils se sont infiltrĂ©s en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altĂ©rĂ© la couleur de mon esprit. InvitĂ© InvitĂ© Re Back to 6 Juin - 2148Back To YouFeat AĂ«lynn & Alexys☟☟ Les cailloux que la jeune femme vendait, n'intĂ©ressaient vraiment ... Vraiment ... VRAIMENT pas Alexys. Un peu macho sur les bords, le jeune homme avait toujours considĂ©rĂ© que certaines activitĂ©s Ă©taient beaucoup plus fĂ©minines que d'autres et que cela devait le rester. AĂ«lynn se serait surement bien entendu avec MĂ©mĂ© Ellis. Durant sa jeunesse, sa grand-mĂšre rangeait toujours des pierres Ă  de nombreux endroits dans la maison. Alexys n'avait jamais vraiment compris pourquoi. Maintenant qu'il Ă©tait tombĂ© Ă  ses dĂ©pends dans le monde surnaturel, les lubies de sa grand-mĂšre, Ă©taient peut-ĂȘtre justifiĂ©es en fin de compte. Quoi qu'il en soit, Alexys ne voulait pas se montrer impoli envers la jeune femme qui semblait dĂ©jĂ  contrariĂ©e par le surnom que donnait le jeune homme aux pierres mystiques. SacrilĂšge. Voyant qu'AĂ«lynn s'Ă©loignait de quelques pas afin d'aller chercher l'huile que lui avait demandĂ© Alexys, il l'a suivi. " Vraiment. Ce n'est pas que je remets en doute leurs ''propriĂ©tĂ©s'', bien au contraire. Et puis, je n'oserai pas insultĂ© la profession d'une si jolie demoiselle. Avec votre sourire, je suis sĂ»re que vous arriveriez Ă  vendre un livre Ă  un aveugle. "Bien que le compliment soit trĂšs grossiĂšrement lancĂ© dans la marre aux grenouilles, Alexys Ă©mit un petit rire. Il Ă©tait vrai que plus jeune, AĂ«lynn n'avait pas vraiment marquĂ© de sa beautĂ© l'esprit du jeune homme qui a cet Ăąge, pensait plus Ă  jouer au playmobil qu'Ă  draguer les petites filles. Mais aujourd'hui ... Quelle beautĂ©. D'ailleurs, Alexys se souvenait trĂšs bien du jour oĂč il avait revu la jeune femme par le plus grand des hasards. Comme Ă  son habitude, Alexys traĂźnait dans le parc municipal sans rĂ©el but, si ce n'est que d'observer les nuages. C'est Ă  ce moment-lĂ  qu'elle apparue sur le sentier non loin de lui, telle une dĂ©esse tombĂ©e du ciel. Les cheveux virevoltant Ă  la brise lĂ©gĂšre, sa dĂ©marche affirmĂ©e, son sourire ... Oh son sourire... Aussi flamboyant que le soleil. L'image semblait irrĂ©elle. Jamais une femme n'avait su attirer son regard de cette façon. Sans vraiment savoir le pourquoi, du comment, Alexys se sentait comme attirĂ© vers elle. D'ailleurs, il chercha par tous les moyens Ă  la revoir. Ce n'est que bien plus tard, qu'il dĂ©couvrit que la jeune femme n'Ă©tait autre que son ancienne voisine. Puisque gentiment AĂ«lynn lui tendit un livre afin de combler son manque de connaissances en matiĂšre de pierre, Alexys n'eue pas le cƓur Ă  lui refuser. Tout en lui souriant, il lui pris des mains. Pour ĂȘtre tout Ă  fait honnĂȘte, Alexys se sentait déçu que la jeune femme ne se souvienne pas de lui. Avec ses bouclettes blondes, il pensait ĂȘtre inoubliable dans l'esprit des gens. A croire que le ressenti que le jeune garçon avait Ă  cette Ă©poque envers elle, Ă©tait rĂ©ciproque. MĂȘme si Ă  son habitude, Alexys avait l'art d'insister lorsqu'il voulait obtenir quelque chose, cette fois-ci, il n'en Ă©tait rien. Cette fille avait ce genre d'emprise sur lui, sans s'en rendre compte. Il ne voulait pas la brusquer. Et puis, il avait tout son temps. AprĂšs tout, le jeune homme Ă©tait vampire maintenant. Alors s'il fallait d'abord passer par le stade connaissance et ami afin d'acquĂ©rir sa confiance, Alexys comptait bien le faire. D'ailleurs, depuis tout ce temps, le jeune homme ne s'Ă©tait mĂȘme pas posĂ© la question de savoir si AĂ«lynn avait quelqu'un dans sa vie ? De toute façon quoi qu'il en Ă©tait, Alexys comptait bien rentrer dans la vie d'AĂ«lynn comme une petite puce. D'abord, invisible. Ensuite, envahissante. Et quand on se rend compte qu'elle est indĂ©logeable, il est dĂ©jĂ  trop tard, vous ĂȘtes mordu. Le jeune homme Ă©tait loin d'ĂȘtre un expert en amour. D'ailleurs, pouvait-on rĂ©ellement parler d'amour ? L'amour ? Quesako ? Alexys n'avait jamais aimĂ©. Mais par contre, rien ne l'arrĂȘter. Dans le genre dĂ©terminĂ©, c'Ă©tait un expert. L'espace d'un instant, Alexys ne compris pas trop ce qui venait de se passer. Alors qu'il s'Ă©tait rĂ©signĂ© pour cette fois, Ă  ce qu'AĂ«lynn ne le reconnaisse pas, cette derniĂšre cita son prĂ©nom et se retrouva l'instant d'aprĂšs en mode table bancale contre un meuble. D'une Ăąme chevaleresque, le jeune homme s'approcha d'elle et lui tendit sa main afin de l'aider Ă  se remettre sur ses jambes, tout en lui souriant." Si on m'avait dit que citer mon prĂ©nom procurait cet effet, je ne t'aurai pas demandĂ© si tu me reconnaissais ... Tu ne t'es pas fait mal, j'espĂšre ? "Un rapide coup d’Ɠil et de narines, permit Ă  Alexys de supposer que la jeune femme n'avait rien. Le choc n'avait pas Ă©tĂ© violent mais tout de mĂȘme. Cependant, mĂȘme si Alexys avait pris l'accident comme une maladresse, il se surpris Ă  se demander pourquoi AĂ«lynn avait un air aussi triste. " Si j'avais su que me revoir te dĂ©plairait autant, je n'aurai rien dit. "Le jeune homme Ă©tait un peu blessĂ© par la rĂ©action de la jeune femme. D'ailleurs, sa mine charmeuse laissa place Ă  un petit rictus gĂȘnĂ©. MĂȘme s'ils n'avaient jamais Ă©tĂ© aussi proche qu'une moule et son rocher, Alexys espĂ©rait quand mĂȘme un peu plus d'enthousiasme. Un peu comme lorsqu'on retombe sur son vieux survĂȘtement prĂ©fĂ©rĂ© qu'on avait oubliĂ© de mettre au lavage depuis un mois et qu'on pensait avoir perdu ... Tenant fermement le livre que lui avait donnĂ© plus tĂŽt AĂ«lynn dans sa main gauche, le jeune homme jeta un rapide coup d’Ɠil Ă  l'environnement. Une deuxiĂšme vendeuse se tenait Ă  la caisse et par miracle, elle ne semblait pas occupĂ©e. Grimaçant lĂ©gĂšrement avant de soupirer doucement, Alexys lui sourit timidement un instant." Je ne vais pas te dĂ©ranger plus longtemps. Tu dois surement ĂȘtre occupĂ©e. "Était-ce l'unique Ă©chappatoire pour se tirer de cette situation plutĂŽt embarrassante. Bien qu'Alexys n'avait pas envie de partir aussi prĂ©cipitamment, la tournure de la situation l’exigeait. En tout cas, il n'aurait jamais imaginĂ© que leurs retrouvailles se dĂ©rouleraient de la sorte ... Et Me*de !! CODAGE PAR AMATISDerniĂšre Ă©dition par Alexys Ellis le Mer 17 Juin - 026, Ă©ditĂ© 1 fois Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson â€ș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă  cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă  l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart â€ș A Stuart â€ș Aylin Stuart â€șrĂ©ponses rps 81 Re Back to 7 Juin - 017 BACK TO YOU❊ Était-ce bien sĂ©rieux de se laisser charmĂ© de la sorte en plein milieu du magasin, de ton magasin ? Tu connaissais bien la rĂ©ponse, cela ne se faisait pas. Mais combien de personne pouvait nous transporter en si peu de seconde avec un regard, une odeur, un sourire ? C'Ă©tait juste irrĂ©elle, oui, c'Ă©tait ça le terme, lui et toute cette Ă©nergie qui se passait entre vous... Tu croyais fĂ©rocement aux Ăąmes sƓurs, tu croyais rĂ©ellement que deux personnes Ă©taient destinĂ©e tout comme tu croyais farouchement qu'on pouvait aimer plus d'une personne en mĂȘme temps et encore plus tout le long d'une vie, qu'on pouvait tomber amoureux plusieurs fois lors de notre passage sur terre, mais pour l'Ăąme-soeur, sa moitiĂ©, il n'y en avait qu'une. Et c'est donc comme cette Ă©vidence qui te frappa l'esprit... Pourtant, tu Ă©tais dĂ©jĂ  tombĂ©e amoureuse, tu avais dĂ©jĂ  connu l'amour, le bonheur, un homme dont tu Ă©tais persuadĂ© que tu finirais avec, oĂč tu avais rĂȘvĂ© de construire une famille, un empire avec. Tu l'avais aimĂ© de tout ton cƓur, pourtant, tu devais bien le reconnaĂźtre... MĂȘme s'il y avait eu de l'amour et de la complicitĂ©, de la tendresse et du respect... Il n'y avait pas cette attraction incontrĂŽlable, cette attirance dĂ©chaĂźnĂ©e. Tu n'Ă©tais qu'un pantin manipulĂ© par le fil du destin. Il est vrai que tu t'Ă©tais souvent imaginĂ© avoir un fil invisible au-dessus de ta tĂȘte oĂč l'univers dirigeait avec un sadisme sans borne. Tu le regardas, rougissante Ă  nouveau avant de regarder le sol, son regard d'un bleu/vert si magnifique en Ă©tait trop pour toi, incapable de le soutenir sans perdre tout sens de la rĂ©alitĂ© Et vous, guĂ©rir toutes les mamies avec un regard pareil » RĂ©pliquas-tu doucement en rentrant dans son jeu, sans pour autant te mettre en danger plus que tu ne le faisais dĂ©jĂ . Et tu pensais qu'il ne pourrait pas plus t'atteindre, mais tu te trompais lourdement... Ce sourire qu'il venait d'afficher, tu le connaissais, tu le connaissais pour avoir vĂ©cu une belle histoire d'amour avec un autre qui possĂ©dait la mĂȘme, un homme que le destin t'avait arrachĂ©. Ce charme familial. En prononçant son prĂ©nom et voyant son visage confirmer que c'Ă©tait bien lui, tu reculas, comme pour te protĂ©ger de cette attraction. Tu Ă©tais pourtant si prĂȘte Ă  te laisser embarquĂ©e dans ce bateau mystĂ©rieux, mais cette rĂ©vĂ©lation te fit froid dans le dos. Comment se pouvait-il que celui que tu croyais ĂȘtre ton Ăąme sƓur soit le cousin de l'homme avec qui tu devais t'unir pour la vie ? Tel un chevalier, il t'aida Ă  te remettre sur pied, Ă  contre cƓur, tu acceptas. Son touchĂ©, le seul touchĂ© de sa main sur la tienne te donna des frissons et ta douleur et ta colĂšre refirent surface. Bien sĂ»r que je n'Ă©tais pas ravie de le voir, tu l'avais tellement maudits ces derniĂšres annĂ©es, il avait abandonnĂ© son cousin, son cousin qui le considĂ©rait comme son meilleur ami, comme son confident Tu n'as jamais Ă©tĂ© trĂšs sympa avec moi lorsque nous Ă©tions enfants » RĂ©pondis-tu, c'Ă©tait une demi vĂ©ritĂ©, mais bien sĂ»r, ce n'Ă©tait pas les souvenirs et les comportements d'enfants qui te repoussait chez lui, c'Ă©tait le fait qu'il n'avait mĂȘme pas Ă©tĂ© prĂ©sent pour les obsĂšques de ton fiancĂ©, de son propre cousin, et cela, ce n'Ă©tait pas pardonnable pour toi. Tu t'Ă©loignas de nouveau de lui, faisant attention cette fois, croisant les bras tandis qu'il avait pour projet de partir et d'aller rejoindre la caisse. Tu le laissais faire ses achats. Comme bloquĂ©e, paralysĂ©e, tu ne bougeais pas. Une part de toi te suppliait de ne pas le laisser partir comme ça, sur cette note frustration et surtout, ce n'Ă©tait pas ton genre de ne pas dire ce que tu pensais. Il quitta le magasin, tu avais dĂ©tournĂ© la tĂȘte quand tu sentis son regard une derniĂšre fois se poser sur toi. Et c'est Ă  peine la porte fermĂ©e que tes jambes et ton esprit reprirent contenance. Sans un mot, tu quittais le magasin Ă  ton tour James » t'Ă©crias-tu alors James tenait Ă©normĂ©ment Ă  toi, il parlait souvent de toi, constamment, tu n'Ă©tais pas que son cousin, tu Ă©tais son frĂšre, son meilleur ami, son confident » Fis-tu donc tandis que le blond se retourna Et il est mort, il est mort et tu n'as rien fait... Tu n'as mĂȘme pas Ă©tĂ© prĂ©sent lors de ses funĂ©railles... Comment as-tu pu lui faire ça ? » Demandas-tu, la larme roula le long de ta joue. Tu ne savais pas si c'Ă©tait une larme de colĂšre ou de tristesse, peut-ĂȘtre mĂȘme bien les deux, qui sait. ⇜ code by bat'phanie ⇝ AĂ«lynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rĂȘves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittĂ©e et qui ont changĂ© mes idĂ©es ils se sont infiltrĂ©s en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altĂ©rĂ© la couleur de mon esprit. InvitĂ© InvitĂ© Re Back to 17 Juin - 023Back To YouFeat AĂ«lynn & Alexys☟☟Cette situation, Alexys ne l'avait jamais vĂ©cue auparavant. Il y avait toujours une premiĂšre Ă  tout. C'est vrai. Mais, le jeune homme dĂ©testait se sentir impuissant. Et quelle ironie lorsqu'un vampire se sentait impuissant. Perdu entre un sentiment Ă©trange qu'il ne pouvait comparer Ă  aucun autre, et un sentiment de jet-lag complet. Un peu comme si un train lui Ă©tait roulĂ© dessus. Plus rien n'avait de sens. Cette AĂ«lynn, Alexys l'avait dĂ©jĂ  tellement mĂ©prisĂ© Ă©tant enfant. A juste titre. Comment aimer une gamine aussi collant qu'un chewing-gum collĂ© Ă  une basket ? OĂč qu'ils allaient, la petite fille les suivait. Gentille ? Elle l'Ă©tait. Mais, la gentillesse ne faisait pas tout. C'est sĂ»rement la raison pour laquelle Alexys se sentait aussi perdu Ă  l'instant prĂ©cis. Comment avait-il pu penser de telle chose alors qu'aujourd'hui, la petite moche l'attirait comme jamais personne ne l'avait fait ? Pendant tout un temps, il avait pensĂ© Ă  un effet secondaire au vampirisme. Cependant, aprĂšs de nombreuses recherches dans la littĂ©rature existante sur le monde surnaturel, rien n'avait Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© Ă  ce sujet. Et Ă©videmment, Twilight n'Ă©tait pas une rĂ©fĂ©rence, hein !Alors qu'Alexys dĂ©vorait littĂ©ralement du regard la jeune AĂ«lynn, la rĂ©alitĂ© le rattrapa aussi vite que la vitesse de la lumiĂšre. Pouf. Hypercute. KO total. Que rĂ©pondre Ă  ça ? La jeune femme avait totalement raison. DĂšs le moment oĂč Alexys avait rĂ©vĂ©lĂ© son identitĂ©, l'ambiance avait brusquement changĂ©. Le charme semblait avoir laissĂ© sa place Ă  l'amertume. Le jeune homme n'avait pas l'habitude de perdre le contrĂŽle. Il ne pouvait pas se dĂ©filer alors qu'il venait de faire le plus gros du travail d'approche. Un peu comme Ă  la chasse, le plus important, c'Ă©tait d'approcher de l'animal sans qu'il ne fuit. Maintenant que cette Ă©tape Ă©tait passĂ©e, il ne restait plus qu'Ă  apprivoiser la tigresse qui lui lançait des regards aussi enflammĂ©s que des mitraillettes prĂȘtes Ă  faire feux Ă  tout moment. Je 
 Euh. Disons simplement que l'Ăąge fait mĂ»rir notre intelligence. C'est bien connu 
 »Alexys balbutia ces quelques mots avec beaucoup de difficultĂ©s. Comment justifier la bĂȘtise de sa jeunesse ? AprĂšs tout, il n'y avait que les idiots qui ne changeaient jamais d'avis 
 Mais quel idiot ! Quel idiot faisait-il maintenant ! Alexys avait beau avoir eu des dizaines de filles dans ses bras, jamais aucune d'entre elles, ne l'avaient bouleversĂ© comme le faisait la jeune femme. MĂȘme un million de leurs Je t'aime », n'ont jamais rĂ©ussi Ă  faire fondre son cƓur de glace. Comment expliquer qu'un simple battement de ses cils, l'enflammait instantanĂ©ment ? Chacun de ses sourires rĂ©chauffaient son Ăąme. La regarder, Ă©tait un rĂ©el plaisir. Une rĂ©elle obsession. Un rĂ©el besoin. Cette rencontre, Alexys en avait souvent rĂȘvĂ©. Et pourtant, la tournure que prenait cette conversation, frĂŽlait bientĂŽt la sensation dĂ©sagrĂ©able, Alexys l'avait ressenti en aidant AĂ«lynn. Le dĂ©testait-elle autant pour frissonner de cette façon Ă  son contact ? Jetant un coup d’Ɠil rapide Ă  sa main, le jeune homme resta bloquĂ© un instant. Ses pensĂ©es dĂ©ferlaient dans son esprit comme les rapides d'une riviĂšre tourmentĂ©e. Beaucoup de sentiments se bousculaient. Devait-il ĂȘtre exĂ©crable avec elle ? Devait-il la pousser d'oĂč il l'avait aidĂ© Ă  sortir pour se venger de sa rĂ©action ? Devait-il lui avouer son obsession ? OĂč devait-il tout simplement fuir ? La fuite n'avait jamais Ă©tĂ© sa meilleure tactique. En d'autres temps, il l'aurait sĂ»rement repoussĂ© dans le meuble sur lequel, elle Ă©tait tombĂ©e. Se moquant royalement de sa douleur. Étrangement, c'est la fuite que choisit Alexys. Un lĂąche. VoilĂ  ce qu'il Ă©tait pour le que ses achats Ă©taient rĂ©glĂ©s, Alexys pouvaient prendre ses jambes Ă  son cou et partir loin. TrĂšs loin de cette boutique. Cette boutique, le jeune homme n'y aurait jamais mis les pieds s'il n'avait pas eu pitiĂ© de cette petite vieille aux yeux de biche. Pourtant, en posant sa main sur la poignĂ©e, un sentiment de regret le traversa comme un coup de poignard en plein cƓur. L'espace d'un instant, la vision de cette femme marchant dans ce parc, repassa devant ses yeux. Elle, qui l'avait tant obnubilĂ© depuis ce jour. Devait-il s'avouer vaincu aussi facilement ? Lui qui avait tellement espĂ©rĂ© ce contact 
 Aussi simple et bref avait-il Ă©tĂ© 
 Rapidement, le jeune homme pesa le pour et le contre. Mais pourquoi rester alors que sa prĂ©sence semblait dĂ©ranger la jeune femme au plus haut point ? C'est donc avec beaucoup d'amertume qu'Alexys ouvrit la porte et sortit de la boutique, jetant un dernier regard dĂ©sespĂ©rĂ© Ă  la jeune femme, avant de tourner les talents. Puisqu'il Ă©tait en possession de l'huile, autant la ramener Ă  la petite vieille. Et puis, autant lui donner le livre par la mĂȘme occasion. Alexys ne voulait garder aucun souvenir de cette rencontre. Le mieux, Ă©tait de tout donner. Pourtant, alors que ses pensĂ©es s'entrechoquaient entre-elles, telles des boules de pĂ©tanque qu'on lançait lors d'un tournoi, le jeune homme entendit des pas trĂšs rapides qui se dirigeaient dans sa direction. Ne voulant pas paraĂźtre dĂ©sespĂ©rĂ©, Alexys ne se retourna pas pour assouvir sa curiositĂ© ardente. Pourtant, le prĂ©nom que prononça au loin la jeune femme, fit stopper net Alexys. La suite de son discours, finit par le scotcher littĂ©ralement. Pourquoi accordait-elle tout Ă  coup, autant d'importance Ă  James, son cousin ? Alexys ne comprenait pas un traitre mot de ce que dĂ©blatĂ©rait AĂ«lynn. D'ailleurs quand il se retourna pour lui faire face, la vision qui lui fit face, le choqua profondĂ©ment. Pourquoi pleurait-elle ? Pourquoi semblait-elle aussi atteinte par la mort de James ? Enfin la mort 
 James ne valsait pas avec les vers de terre, certes. Mais ça, Alexys ne pouvait l'avouer Ă  la jeune femme. La seule chose qu'il avait envie de faire 
 C'Ă©tait de lui crier dessus. Une vague de colĂšre l'envahit. Que sais-tu vraiment de notre relation avec James ? Qui es-tu pour me juger ? Que sais-tu de moi ? De ma vie ? De mon passĂ© ? Comment peux-tu te permettre de me faire la morale de la sorte alors que je ne t'aurai mĂȘme pas donnĂ© l'heure, il y a quelques annĂ©es ? Ne fais pas comme ci tes pleures m'attendrissaient au point de me justifier, AĂ«lynn. Je n'ai de compte Ă  rendre auprĂšs de personne. »Dur. Les mots que venaient d'employer Alexys, Ă©taient durs. TrĂšs durs. MĂȘme trop durs. Le jeune homme se sentait en colĂšre. La colĂšre Ă©tant amplifiĂ©e par le cĂŽtĂ© vampirique, le rendait encore plus exĂ©crable qu'avant. Il n'avait pris aucune pincette avec AĂ«lynn. Alexys avait simplement balancĂ© les premiĂšres remarques qui lui Ă©taient venues Ă  l'esprit. Au risque de blesser la jeune femme. D'ailleurs, l'Ă©tat dans lequel elle se trouvait, l’énervait autant qu'il l'intriguait. Pourquoi rĂ©agissait-elle comme ça ? Quelle relation pouvait-elle bien entretenir avec James pour se mettre Ă  pleurer ? Alexys avait toujours su que si la jeune femme les collait Ă©tant jeune, c'Ă©tait sĂ»rement parce qu'elle en pinçait pour l'un d'eux. Pourtant, James n'avait jamais fait d'allusion Ă  son sujet. Alexys savait que son cousin entretenait une relation avec une jeune femme, au point de vouloir l'Ă©pouser mais jamais, James n'avait fait d'allusion Ă  AĂ«lynn. Il disait sans cesse qu'Alexys ne le connaissait pas. Se pourrait-il qu'il lui aie menti ? Non. Cela ne pouvait ĂȘtre vrai 
 Alexys sentait la jalousie lui monter aux joues. Ses poings se serraient au point dĂ©crasser totalement la poignĂ©e du sac contenant l'huile et le livre. Beaucoup de scĂ©narios se jouaient dans son esprit. Le pire d'entre tous, c'Ă©tait sĂ»rement celui dans lequel AĂ«lynn jouait la fiancĂ©e Ă©prise de son dĂ©funt qui n'Ă©tait pas si dĂ©funt que ça. Le meilleur ? C'Ă©tait sĂ»rement celui dans lequel la jeune femme jouait simplement l'amie d'enfance un peu rabat-joie. Finalement, c'est celui que le jeune homme dĂ©cida de choisir pour apaiser ses Ă©motions, parties un peu trop en vrille. L'instinct animal du vampire s'Ă©tait rĂ©veillĂ©. Un peu comme si ses Ă©motions Ă©taient passĂ©es en Off. MĂȘme s'il ne l'avouera jamais, entendre AĂ«lynn s'inquiĂ©tait de ce qu'avait pu vivre ou ressentir un autre homme que lui, le rendait fou. Malade. Malade de jalousie. Ou tout simplement malade d'amour pour la jeune femme ? Quoi qu'il en soit, Alexys ne comptait pas se dĂ©gonfler. Il devait savoir. Elle devait passer aux vƓux. Qu'elle le veuille ou non. D'un pas un peu trop dĂ©cidĂ©, il s'avança vers la jeune femme. Croisant ses bras sur sa poitrine, le sac pendait contre son torse, il nargua AĂ«lynn du regard, arborant cet air suffisant qui l'avait tant caractĂ©risĂ© auprĂšs de ses anciennes conquĂȘtes, signe que la tempĂȘte Ă©tait proche 
 D'ailleurs, que nous vaut cette soudaine considĂ©ration ? Il y a quelques instants, tu m'as rappelĂ© Ă  quel point je te mĂ©prisais quand nous Ă©tions enfants. Pourquoi penses-tu qu'il n'en Ă©tait pas de mĂȘme pour James ? Tu penses avoir eu la moindre importance pour lui ? Je rĂȘve. Tu te prends pour sa copine ou quoi ? Qui Ă©tais-tu pour lui ? Qui Ă©tais-tu pour te permettre de me faire un sermon sur mon devoir de cousin de la sorte ? Stuart, je ne suis plus cet enfant que tu peux sermonner comme bon te semble. Grandis un peu. Si je n'Ă©tais pas prĂ©sent, c'est sĂ»rement parce que j'avais mes raisons. Et ces raisons, elles ne concernent que moi. "Qui a dit que les retrouvailles devaient toujours ĂȘtre joyeuses ? Ce qui Ă©tait sĂ»r, c'Ă©tait que l’impertinence et l’arrogance d'Alexys, allaient sĂ»rement lui jouer des tours 
 CODAGE PAR AMATIS Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson â€ș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă  cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă  l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart â€ș A Stuart â€ș Aylin Stuart â€șrĂ©ponses rps 81 Re Back to 18 Juin - 021 BACK TO YOU❊ Comment cela Ă©tait-il possible de changer d'une situation de tout au tout en une fraction de seconde. Tu Ă©tais grossiĂšrement en train de flirter avec lui en pleins milieu de ton magasin, rougissante comme une adolescente avec le cƓur en crise de tachycardie et l'instant d'aprĂšs, la colĂšre, la tristesse et la rancune t’enivras. C'est dingue comme l'identitĂ© d'une personne pouvait jouer sur l'aspect relationnel. Tu tombes en amour et ensuite tu haĂŻs instantanĂ©ment, le tout, en un prĂ©nom. Bien sĂ»r, dit comme cela pouvait bien ĂȘtre ridicule, mais au final, il Ă©tait devenu un homme grand beau et trĂšs sĂ©duisant... Mais cela ne changeait pas rĂ©ellement qui il Ă©tait et ce qu'il avait fait.. Enfin, ce qu'il n'avait pas fait dans ce cas contraire. Et toi, tu ne pouvais pas te sentir plus bĂȘte, tombĂ©e sous le charme pour la premiĂšre fois depuis la mort de l'homme que tu aimais de son cousin. C'Ă©tait vĂ©ritablement le comble. Tu Ă©tais pourtant la premiĂšre Ă  insulter les filles de sĂ©rie tĂ©lĂ© qui passe de frĂšre en frĂšre ou bien alors de gars en gars dans la mĂȘme bande de pote, les insultĂ©s de filles faciles et d'hypocrite. Au final, tu Ă©tais exactement pareil. Et tu te mis Ă  froncer les sourcils, si James Ă©tait encore vivante, aurais-tu ressentie cette attirance et cette connexion indĂ©niable avec le revenant blond ? Tu ne savais pas rĂ©pondre Ă  cette question, et au final tu ne prĂ©fĂ©rais pas savoir. Bien entendu, rien ne justifiais la situation, et malgrĂ© son identitĂ© connu, la sensation de sa peau contre la tienne quand il t'aida Ă  te relever te fit plus d'effet que tu ne le voulais. IndĂ©niablement, il avait ce pouvoir sur toi, du moins, sur ton corps et ton cƓur qui Ă©tait incontrĂŽlable, mais ton esprit et ton Ăąme ne pouvait l'accepter. Alors, justifier l'enfance pour excuse de ta rĂ©action Ă©tait la seule et la premiĂšre chose qui te vint Ă  l'esprit Oui c'est vrai, on change tous » RĂ©pondis-tu gĂȘnĂ©e par la situation, par ce tourment entre ta tĂȘte et ton cƓur. Sans oubliĂ©e du coup, cette atmosphĂšre palpable, cette situation oppressante et le malaise qui se dĂ©gageait au final. Tu soufflais et fermais les yeux quand il partit rĂ©gler ses achats et tu essayais de reprendre tes esprits, mais c'Ă©tait impossible pour toi. Tu ne pouvais pas faire comme si de rien Ă©tait, tu Ă©tais bien trop franche et bien trop grande bouche pour laisser croire Ă  un simple souvenir d'enfance alors que ta rancune Ă©tait bien plus profonde, bien plus enracinĂ©e dans tes entrailles. Et c'est alors qu'il partit de l'Ă©tablissement que tu rĂ©agissais enfin. Sans prĂ©venir ta vendeuse, tu quittas Ă  ton tour le magasin pour ouvrir ton cƓur Ă  cet homme si mystĂ©rieux. AprĂšs avoir sortit tout ce que tu avais sur le cƓur, il s'Ă©tait retournĂ© et tu pouvais voir la peine et la colĂšre dans son regard et aussi dans l'aura qu'il dĂ©gageait. Bien entendu, tu avais Ă©tait dure avec lui. Et sa rĂ©ponse ne se fit pas tarder. Tu baissais un instant le regard, il avait pas tort au final, qui Ă©tais-tu pour le juger, que savais-tu de lui. Tu te mordis la lĂšvre infĂ©rieure et surtout, tu ne compris pas tout de suite la suite de son dialogue et tu ne savais pas vraiment comment rĂ©agir et surtout une intense colĂšre naquit vers l'homme que tu avais tant aimĂ©. Alexys n'Ă©tait-il donc pas au courant pour elle et son cousin ? Ne lui avait-il pas dit ? Pourtant, quand il te parlait de son cousin, il disait qu'il y avait une transparence entre les deux. Qu'ils Ă©taient proches et qu'ils se disaient tout. Qui lui avait mĂȘme proposer d'ĂȘtre son tĂ©moin Ă  son mariage, mais au final, peut-ĂȘtre qu'il en Ă©tait rien. James lui avait menti, avait-il honte de toi ? Du souvenir qu'Alexys avait envers ta personne ? Tu respiras fortement, levant la tĂȘte, lui faisant face avec un regard sĂ©vĂšre. Tu n'Ă©tais certainement pas le genre de femme Ă  te laisser marcher dessus ou t'Ă©craser. Tu Ă©tais une Stuart aprĂšs tout C'est vrai, je n'ai pas Ă  te juger et je ne te connais pas, pourquoi es-tu revenu que maintenant ? Et qui es-tu ? » RĂ©pliquas-tu en croisant les bras en le dĂ©fiant du regard. Bien entendu, il continua dans son discours et tu levas les yeux Non, ce n'Ă©tait pas le cas de James, de votre trio de copain tu Ă©tais bien le seul Ă  ne pas vouloir m'accepter » Fis-tu alors Et au final Ă  la seconde oĂč tu es parti, James et Angel sont restĂ©s tous les jours avec Soline et moi, et toi, tu n'existais plus... On se portait bien mieux avec aucune nĂ©gativitĂ©, nĂ©gativitĂ© que tu dĂ©gageais Ă  chaque fois » Repris-tu donc. Avec sa rĂ©vĂ©lation, tu prĂ©fĂ©rais pas lui rĂ©vĂ©ler ta vraie relation avec son cousin, parce que dĂ©jĂ  il ne mĂ©ritait pas de savoir, ça ne le regardais pas. Mais d'une certaine maniĂšre, tu Ă©tais blessĂ©e que James ne l'ai jamais fait et du coup, tu avais besoin de temps pour accuser le coup de cette histoire Je ne suis pas du genre Ă  sermonner, je ne sais pas pour qui tu me prends, mais de toute Ă©vidence tu te trompe de personne, ta mĂ©moire est de toute Ă©vidence, dĂ©faillante » Fis-tu, une pointe blessĂ©e d'avantage. Bon d'accord, tu avais toujours eu tendance Ă  donner ton avis sur tout, mais de lĂ  Ă  sermonner les autres, c'Ă©tait un peu fort quand mĂȘme. Et tout en cette situation Ă©tait que tu repartes dans ton magasin, qu'il parte de son cĂŽtĂ© Ă  lui aussi. Mais sans que tu ne saches pourquoi, une partie de toi ne voulait pas, ne pouvait pas s'en aller loin de lui, pas sur cette tension si mauvaise. Car, de toute Ă©vidence, tu avais peur de ne plus jamais le revoir et c'Ă©tait tellement contradictoire avec toute la situation. Ce n'Ă©tait Ă  ne plus rien y comprendre. En cet instant, tu avais envie qu'Angel et Soline soit prĂ©sente, qu'ils t'expliquent et qu'ils te disent quoi faire, comment agir et rĂ©agir. ⇜ code by bat'phanie ⇝ AĂ«lynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rĂȘves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittĂ©e et qui ont changĂ© mes idĂ©es ils se sont infiltrĂ©s en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altĂ©rĂ© la couleur de mon esprit. InvitĂ© InvitĂ© Re Back to 18 Juin - 2156Back To YouFeat AĂ«lynn & Alexys☟☟Qui Ă©tait-il ? Qui Ă©tait-il ? That is the question. Cette question, Alexys se l'Ă©tait souvent posĂ© ces derniers temps. Entre sa transformation, celle de James et l'attirance inexplicable qu'il Ă©prouvait envers la belle brunette, le jeune homme ne se reconnaissait plus. TantĂŽt le loup dans la bergerie, tantĂŽt le mouton prĂȘt Ă  se faire dĂ©vorer par le loup. Sa transformation n'avait pas Ă©tĂ© un moment des plus agrĂ©able. Ne se considĂ©rant plus comme un humain, le jeune homme avait repris goĂ»t aux joies et aux peines de la vie humaine qu'il avait perdu grĂące Ă  son travail. Tenter de sauver des gens Ă  la place d'en tuer, victime de ses pulsions meurtriĂšres de vampire, Ă©tait d'un grand bonheur dans sa vie. Puis la descente aux enfers Ă©tait repartie avec la transformation de James, son cousin. MĂȘme si Alexys s'Ă©tait souvent reprochĂ© d'avoir donnĂ© cette fiole de sang, James semblait profiter pleinement de sa nouvelle vie et c'est ce qui Ă©tait le plus important. Vivre le conflit perpĂ©tuel que vivait quotidiennement le jeune homme, n'Ă©tait Ă  souhaiter Ă  personne. Finalement, la donne avait rĂ©ellement changĂ© lorsqu'AĂ«lynn rentra de nouveau dans sa vie. Lorsqu'Alexys la voyait au loin, c'Ă©tait un peu comme si la gravitation ne le retenait plus, flottant sur son petit nuage. La regarder lui procurait de l'apaisement. Cet apaisement qu'il n'espĂ©rait plus depuis ces derniĂšres annĂ©es. Malheureusement, il est des choses qu'on ne peut jamais avouer. Surtout pas maintenant qu'AĂ«lynn lui aie mis les nerfs en boule. Hors de question. Il Ă©tait hors de question qu'Alexys crache le morceau. Sa fiertĂ© oblige. Je vais te le rĂ©pĂ©ter puisque tu sembles ne pas comprendre ce que je te dis 
 » Dit-il en se penchant lĂ©gĂšrement vers elle. La raison pour laquelle je suis revenu, ne te regarde absolument pas. Et quand bien mĂȘme. Je suis nĂ© ici. Faut-il vraiment une raison pour revenir ? A t'entendre, j'ai l'impression de passer un interrogatoire devant l'immigration ! » Dire qu'ĂȘtre dĂ©sagrĂ©able avec la jeune femme l'amusait, Ă©tait trĂšs exagĂ©rĂ©. Alexys n'avait aucune envie de lui balancer son venin. Mais puisqu'elle l'avait cherchĂ© et puisqu'il ne pouvait pas lui avouer qu'il Ă©tait en rĂ©alitĂ©, irrĂ©mĂ©diablement fou d'elle, le jeune homme n'avait pas d'autres choix que d'ĂȘtre aussi naturel que possible. AprĂšs tout, ce caractĂšre de cochon, il l'avait toujours eu. C'est juste qu'avec elle, il devenait un petit canard. D'ailleurs, depuis que le jeune homme avait rĂ©vĂ©lĂ© son identitĂ©, AĂ«lynn ne se gĂȘnait pas pour lui rappeler sans cesse. Cependant, la suite de ses paroles commença rĂ©ellement Ă  le consumer de l'intĂ©rieur. Ses yeux Ă©taient plus qu'en Fire, consumĂ© par la jalousie. Si tu crois vraiment ça, c'est que tu es encore plus idiote que dans mes souvenirs ! » Dit-il dans un sourire narquois. Comment peux-tu ĂȘtre aussi sĂ»re de ce que tu avances ? MĂȘme si je n'Ă©tais plus lĂ , j'Ă©changeais avec James frĂ©quemment. C'est juste qu'il n'osait pas t'avouer Ă  quel point tu Ă©tais envahissante et oppressante rien de plus. »Plus AĂ«lynn tentait de dĂ©fendre James, plus Alexys devenait cinglant dans les mots qu'il employait. L'entendre dire que tout ce qu'il incarnait une fois parti, n'existait plus, le blessait sincĂšrement. Alexys avouait avec beaucoup de mal, avoir Ă©tĂ© injuste avec elle en Ă©tant enfant mais comment avait-elle pĂ» devenir aussi blessante ? Finalement, plus la conversation avançait, plus le jeune homme se rendait compte que la petite fille fragile qu'il avait connu, n'existait plus. La jeune femme semblait plus forte, plus dĂ©terminĂ©e. Et mĂȘme si cela lui plaisait beaucoup, se disant qu'il avait enfin trouvĂ© quelqu'un Ă  sa hauteur, certaines de ses rĂ©pliques lui plaisaient vachement moins. Finalement, Alexys avait la simple impression que toute cette histoire allait mal se terminer. AĂ«lynn ne semblait pas vouloir se faire malmenĂ©e par le jeune homme, et ce dernier Ă©tait bien dĂ©cidĂ© Ă  avoir le dernier mot sur tout ce que dirait la jeune homme, convaincu qu'il avait toujours raison, mĂȘme contre vents et marĂ©es. Au bord de l'implosion, son sang ne faisant qu'un tour dans son corps, Alexys laissa tomber le sac qu'il tenait toujours dans ses mains et s'approcha dangereusement d'AĂ«lynn. Son sourire crispait, n'annonçant rien de bon, il posa ses mains sur les Ă©paules de la jeune femme et les serra lĂ©gĂšrement, son visage s'Ă©tant rapprochĂ© du sien afin de lui susurrer dans un semblant de calme les mots qui allaient suivre. Tu sais quoi ma belle ? Pense ce-que-tu-veux de moi, je m'en contre-fiche totalement. D'autres me supplieront Ă  ta place pour leur donner le peu d'attention que je te porte depuis toute Ă  l'heure. Te crois-tu aussi irrĂ©sistible pour que je tolĂšre que tu me traites de la sorte ? A moins que tu me voues un amour irrationnel, le fait que nous nous sommes connu Ă©tant enfant, ne te donne aucun droit sur moi. Mais puisque tu sembles accorder tant d'importance Ă  James, je vais te dire une bonne chose 
 »Alexys s'Ă©loigna du visage de la jeune femme et recula de deux pas, son regard noir comme le fond de l'ocĂ©an, fixant avec insistance celui de la jeune femme. Sa folie bestiale ayant repris le dessus. C'Ă©tait un peu comme si son cƓur meurtri par la haine que lui vouait la jeune femme en cet instant, s'Ă©tait mis en OFF afin de limiter la souffrance. Il ne t'a jamais vraiment apprĂ©ciĂ©. La seule chose et unique chose qui l'a fait se rapprocher de toi ... C'est le vide que j'ai laissĂ© aprĂšs mon dĂ©part. Rien de plus. Alors arrĂȘte de croire au prince charmant sur son beau cheval blanc. Car sans vouloir te dĂ©cevoir, il n'existe pas. Ou du moins 
 Plus. »Alexys avait cruellement besoin de savoir jusqu'oĂč AĂ«lynn Ă©tait prĂȘte Ă  aller pour sauver la mĂ©moire de James. Étrangement, le jeune homme avait l'impression que l'amitiĂ© Ă©tait certainement plus que ce qui liait la jeune femme Ă  son cousin. Et ça, il ne pouvait l'admettre. Mais Ă©tait-il prĂȘt Ă  perdre AĂ«lynn ?CODAGE PAR AMATIS Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson â€ș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă  cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă  l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart â€ș A Stuart â€ș Aylin Stuart â€șrĂ©ponses rps 81 Re Back to 18 Juin - 2348 BACK TO YOU❊ Tu avais beau avoir une attirance certaine pour cet individu, son caractĂšre te repoussait au plus haut point et au fur et Ă  mesure que le ton montait entre vous, tu le revoyais enfant. Il avait toujours Ă©tĂ© si mĂ©chant et dĂ©sagrĂ©able. Pas seulement qu'avec toi, mais aussi avec les autres hormis ses deux meilleurs copains. Et le voir comme ça, tu pouvais bien te demander comment pouvait-il ĂȘtre si gentil avec des petites mamies et horribles avec les autres ? Comme s'il Ă©tait deux personnes diffĂ©rentes en mĂȘme temps. Mais cela ne changeait pas la douleur qu'il reprĂ©sentait pour toi, incontestablement, tu ne pouvais que l'identifier Ă  l'amour que tu as perdu. Et tu ne comprenais pas tout, comment pouvait-il dire tout cela, comment ne pouvait-il pas savoir pour son cousin ? Il avait pourtant invitĂ© au mariage. A part si, Ă©galement de ton cĂŽtĂ©, il y avait eu que des mensonges. Mais qui croire, il Ă©tait si facile de mentir quand l'autre personne ne pouvait se dĂ©fendre. Et tu te dĂ©testais de croire ce que le magnifique et dĂ©testable blond te disait, salissant alors la mĂ©moire de celui que tu avais toujours aimĂ©e. Le tout en quelques minutes. Et vexĂ©e de cette situation, tu prĂ©fĂ©rais garder pour toi le lien qui t'unissait avec son cousin, il valait mieux car tu savais qu'il trouverait rien de mieux Ă  faire que de te faire douter de l'amour que James te portait et ça, il en Ă©tait impossible. Tu avais aimĂ©e terriblement James et il Ă©tait amoureux de toi, il te le disait constamment, aprĂšs tout, c'est lui qui voulait que tu deviennes sa femme. Tu repris contenance, tu ne voulais pas montrer que toutes ses accusations t'atteignait bien plus qu'il ne le pensait. Il en serait trop content. Et tu ne comprenais pas pourquoi, James qui Ă©tait un amour et lui un horrible personnage. Etait-il rĂ©ellement cousin ? Tu te le demandais pour le coup. Tu ouvris la bouche pour rĂ©pliquer, mais aucun mot ne sortit. AprĂšs tout, la raison de son retour ne concernait que lui c'est vrai, mais pourquoi n'Ă©tait-il pas venu alors pour l'enterrement de son cousin, son cher cousin qui l'adore comme il le prouve si bien. Tu te mordis la lĂšvre pour ne pas revenir sur le sujet, tu Ă©tais tĂȘtue et tu avais bien l'intention de savoir la vĂ©ritĂ©. Tu croisais les bras en le toisant sĂ©vĂšrement Et toi, comment peux-tu ĂȘtre un connard arrogant et prĂ©tentieux Ă  ce point ? Tu disais que tu avais changĂ© et au final, je constate que tu es toujours ce gosse avec un caractĂšre de merde, une vie si pourrie qu'il se venge sur les autres » RĂ©pliquas-tu, tu l'avais toujours penser, il devait avoir une vie si triste pour ĂȘtre si mauvais avec tout ceux qui l'entoure, c'Ă©tait souvent comme ça Bien sĂ»r que je sais que tu Ă©changeais avec lui, tout comme il t'avait demandĂ© d'ĂȘtre tĂ©moin Ă  son mariage, crois-tu vraiment qu'il te disait tout ? Je ne pense pas, James disait bien ce qui l'arrangeait parfois » Fis-tu alors dĂ©terminĂ©e et tu t’injurias, tu Ă©tais vraiment horrible de tout remettre la faute sur James, en cet instant, tu ne valais pas mieux que celui qui te faisait face. Cet homme qui justement, s'approchait dangereusement de toi et le fait de le sentir si proche de toi malgrĂ© la colĂšre que tu nourrissais pour lui, fis comme tout Ă  l'heure. Ton cƓur battait vite et cette sensation de te sentir comme une petite chose. Tu ne comprenais pas ce pouvoir si puissant qu'il avait sur toi, son odeur, son souffle. Cela te faisait tourner la tĂȘte. Heureusement, si on peut dire cela, qu'il te fit mal cela rendait cette proximitĂ© diffĂ©rente tandis qu'il continua de dĂ©verser ses paroles haineuses. Tu rĂ©pliquas pas sur ce qu'il disait, tu te doutais bien qu'il devait ĂȘtre vexer d'avoir Ă©tĂ© remplacer aussi rapidement et que son absence n'est changĂ© strictement rien sur la petite bande, et plus encore, qu'elle se portait encore mieux sans lui. Tu reculas Ă  nouveau et tu compris, du moins, tu espĂ©rais ĂȘtre dans le vrai.. Cette mĂ©chancetĂ©, Ă©tait-elle pour la mĂȘme raison que la tienne ? Ou alors Ă©tais-ce vraiment de la connerie Alexys, comment peux-tu parler de lui ainsi ? J'ai bien honte d'insulter sa mĂ©moire en agissant ainsi, James t'aimait vraiment beaucoup et lĂ  c'est n'importe quoi, j'ai tellement de chose Ă  te dire, si tu savais. Mais par respect pour lui et son souvenir, je prĂ©fĂšre me taire c'est mieux ainsi... » Fis-tu de maniĂšre plus posĂ©e, tu aurais pus continuer pendant des heures, mais tu n'Ă©tais pas si mĂ©chante que lui et cela ne t'amusait pas de blessĂ©e les autres. ⇜ code by bat'phanie ⇝ AĂ«lynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rĂȘves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittĂ©e et qui ont changĂ© mes idĂ©es ils se sont infiltrĂ©s en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altĂ©rĂ© la couleur de mon esprit. InvitĂ© InvitĂ© Re Back to 19 Juin - 2324Back To YouFeat AĂ«lynn & Alexys☟☟Il y avait un dicton cĂ©lĂšbre qui disait Qui aime bien, chĂątie bien ! ». Pour le coup, la scĂšne qui se jouait devant la petite boutique, n'Ă©tait plus de l'amour mais, de la rage. Les deux jeunes s'envoyaient sans relĂąche les pires mĂ©chancetĂ©s. C'Ă©tait un peu Ă  celui qui rendrait les armes en premier. Un jeu devenu dangereux au fil des minutes qui s'Ă©coulaient. Bien trop dangereux. MĂȘme si Alexys se voulait dur dans ses paroles, pris dans le redoutable tourbillon de la jalousie, sa plus grande peur Ă©tait de perdre la jeune femme. Il l'apprĂ©ciait bien trop. Son souvenir le faisait sourire quand il pensait Ă  elle lors de ses moments perdus et maintenant qu'il avait rĂ©ussi Ă  l'approcher, Ă  lui montrer qu'il existait, la situation virait Ă  la catastrophe. Au fond, Alexys aurait aimĂ© faire table rase du passĂ©. Ils n'Ă©taient que des enfants et les enfants sont toujours mĂ©chants entre eux. A croire que la rancune que lui vouait AĂ«lynn Ă©tait bien plus profonde qu'il ne l'aurait imaginĂ©. Triste rĂ©alitĂ©. Tu as raison. Je suis un connard arrogant et prĂ©tentieux. Mais contrairement Ă  toi, je sais reconnaĂźtre mes dĂ©fauts. »Oui, Alexys Ă©tait un connard arrogant et prĂ©tentieux. Ca, il le savait depuis bien longtemps. D'ailleurs, chacune de ses conquĂȘtes larguĂ©es comme de vulgaires chiffons, aimaient vanter ces traits de personnalitĂ©, aussi dĂ©testables soient-ils. Le jeune homme n'avait pas eu une vie facile. Entre le dĂ©cĂšs de ses parents alors qu'il n'Ă©tait qu'un bĂ©bĂ©, le manque d'amour paternel et maternel, la dĂ©mĂ©nagement vers un pays inconnu, la maladie et puis la transformation, le karma avait plutĂŽt Ă©tĂ© dur avec lui. Sa façon de s'exprimer, se faisait par la bagarre et l'arrogance. Tout cela ne s'apparentait qu'Ă  un vulgaire mĂ©canisme de dĂ©fense. Rien de plus. Jamais, il n'avait laissĂ© approcher personne Ă  pars son cousin et sa grand-mĂšre. C'est sĂ»rement la raison pour laquelle, il Ă©tait si dur avec les filles qu'il cĂŽtoyait. Aussi froid et impĂ©nĂ©trable qu'un puissant glacier d’antarctique. Et pourtant, lors d'une belle journĂ©e d'Ă©tĂ©, l’apparition de la jeune femme, lui avait rĂ©chauffĂ© le cƓur. Un peu trop d'ailleurs. Lorsqu'il l'avait aperçu dans la boutique quelques minutes auparavant, Alexys espĂ©rait vraiment que la jeune femme ne tiendrait pas rigueur des Ă©vĂ©nements du passĂ©. AprĂšs tout, tout le monde pouvait changer. L'univers Ă©tait rempli de seconde chance. Et pourtant, tout avait vrillĂ©. AĂ«lynn ne lui avait laissĂ© aucune chance. Et pour cela, il lui en voulait horriblement. La suite des paroles d'AĂ«lynn n’intĂ©ressĂšrent pas du tout le jeune homme qui s'Ă©tait Ă©loignĂ©, perdu dans ses pensĂ©es. Tout ce qu'il avait retenu de tout son charabia, c'Ă©tait que la jeune femme ne lui laissait aucune chance. Cette phrase, il se la rĂ©pĂ©tait en boucle. Son expression commença Ă  changer petit Ă  petit, laissant feindre la tristesse. Alexys se sentait comme un enfant que sa mĂšre venait d’abandonner devant les portes d'un orphelinat en lui disant que tout Ă©tait de sa faute. Le plus horrible des sentiments refit surface. L'abandon. L'abandon des gens qu'on aime. C'Ă©tait le pire. AĂȘlynn semblait vouer un culte Ă  James, lui qui avait tout abandonnĂ©, faisant croire Ă  ses proches qu'il Ă©tait mort. Pensait-elle que c'Ă©tait mieux que le dĂ©part d'Alexys contre son grĂ© ? Le mensonge ? Pensait-elle que c'Ă©tait correct d'abandonner ses proches et de leur faire subir un deuil ? Bien sĂ»r que non. Pour elle, James Ă©tait sur un pieds d'estalle. Si seulement AĂ«lynn savait 
 Continuerait-elle Ă  le dĂ©fendre bec et ongle ?Finalement, devant la rĂ©solution d'AĂ«lynn, Alexys baissa les armes. La regarder, devenant trop douloureux pour lui, il dĂ©cida simplement de lui tourner le dos. Tu ne m'as laissĂ© aucune chance AĂ«lynn. Du moment oĂč tu m'as reconnu jusqu'Ă  maintenant, les seules paroles qui sont sorties de ta bouche, n'ont Ă©tĂ© que reproches. », Alexys marqua une lĂ©gĂšre pause. Puisque tu sembles tout savoir sur la relation que j'entretenais avec James, mĂȘme mieux que moi, tu devrais savoir que ce dont tu m'accuses, est injustifiĂ©. Mais ça, tu t'en contre-fiches. Pour toi, je ne suis que le sale gosse qui du haut de ses 10 ans, te toisait du regard. »Alexys se retourna, les yeux un peu bouleversĂ©. Cela ne lui ressemblait pas mais les accusations de la jeune femme le touchait. Maintenant que sa colĂšre Ă©tait descendue, la dĂ©pression reprenait le dessus. Entre colĂšre et dĂ©pression, il n'y avait qu'un pas et la limite Ă©tait encore plus rapidement franchie depuis qu'Alexys Ă©tait devenu un vampire. S'approchant une nouvelle fois d'AĂ«lynn, il posa ses mais sur ses joues, l'obligeant Ă  le regarder dans les yeux. Me dĂ©testes-tu autant ? Pourquoi refuses-tu de croire que les gens peuvent changer ? N'y-a-t-il donc que James qui trouve grĂące Ă  tes yeux ? »Une pulsion le pris d’assaut. La proximitĂ© devenant insoutenable et tentatrice, Alexys rapprocha ses lĂšvres de celles de la jeune femme. MĂȘme sans les toucher, le jeune homme ressentait dĂ©jĂ  leur douceur. Son souffle rapide sonnait comme une mĂ©lodie Ă  ses oreilles de vampire totalement accro. Bien que ce geste apaisait lĂ©gĂšrement son Ăąme tourmentĂ©e, il se rendit compte rapidement qu'il ne pouvait pas la forcer. Ni Ă  l'aimer, ni Ă  faire quoi que ce soit d'autre. Alexys l'apprĂ©ciait peut ĂȘtre un peu trop que pour lui infliger un baiser forcĂ© qui n'aurait aucune saveur, aucune Ăąme. Souvent, il s'Ă©tait amusĂ© Ă  imaginer leur tout premier baiser et ce n'Ă©tait certainement pas dans ses conditions. Totalement et dĂ©sespĂ©rĂ©ment rĂ©solu, Alexys se redressa et lĂącha le visage de la jeune femme. Peut ĂȘtre qu'un jour, tu te rendras compte de l'erreur que tu viens de commettre. »Alexys alla rechercher le sac qu'il avait balancĂ© un peu plus loin dans un soupir, et tourna les talons, s'Ă©loignant de la jeune femme. Ce qu'elle pouvait dire maintenant, ne l’intĂ©ressait plus dĂ©sormais. Puisque le jeune homme n'Ă©tait qu'un connard, AĂ«lynn ne verrait sĂ»rement pas d'inconvĂ©nient Ă  ce qu'il la plante lĂ , devant son magasin. Puisqu'il fallait savoir abandonner dans la vie, autant leur faire maintenant. CODAGE PAR AMATIS Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson â€ș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă  cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă  l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart â€ș A Stuart â€ș Aylin Stuart â€șrĂ©ponses rps 81 Re Back to 21 Juin - 025 BACK TO YOU❊ Toujours devant ton magasin, toujours bras croiser et toujours avec cette envie de claquer ce blondinet aux yeux magnifiquement blond. Tu avais succombĂ© Ă  son charme, puis tu avais dĂ©couvert qui il Ă©tait. Cela avait tout changĂ© et plus les minutes s'Ă©croulaient et plus tu dĂ©couvrais sa vĂ©ritable personnalitĂ©, personnalitĂ© aussi dĂ©testable qu'insupportable. Alors, les reproches continuaient d'avantage. On est d'accord sur le fait que tu avais commencĂ© les hostilitĂ©s, mais tu n'avais pas pus faire autrement, tu Ă©tais bien trop entiĂšre, bien trop franche pour garder ce que tu avais Ă  lui dire dĂšs l'instant oĂč tu l'avais reconnu. Tu souris ironiquement Que sais-tu de moi Ă©galement, je ne sais rien sur toi je te l'accorde, mais tu ne me connais pas non plus alors garde tes rĂ©flexions pour toi mĂȘme » RĂ©pliquas-tu, tu savais que tu avais des dĂ©fauts, tu en avais conscience et tu les assumais sans pour autant le dire si ouvertement comme lui, mais lui il Ă©tait tellement arrogant Ă  vouloir toujours le dernier mot qu'il ne pouvait s'en doute pas s'en empĂȘcher aprĂšs tout. C'est le principe mĂȘme de ce que tu lui reprochait Ă  cĂŽtĂ© de bien d'autres faits plus aggravant. Du moins, c'est ce que tu pensais car avec ce qu'il t'avait dit, tu commençais rĂ©ellement Ă  douter de l'homme que tu avais jadis aimĂ©. Et alors qu'il continua Ă  ouvrir la bouche pour dĂ©blatĂ©rer des paroles tu te mis Ă  Ă©clater de rire royalement, pas d'amusement on en convient, mais il venait de faire terriblement fort Te donner une chance ? Non mais tu t'es entendus, il n'y a pas une seule insulte que tu m'as Ă©pargnĂ© depuis qu'on est ici alors que je t'avais juste fait par de mon ressentie et de mon inco .
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  • rien qu une larme dans tes yeux paroles