De nombreuses espècesLe rat noir ou rat des greniersComment reconnaître le rat noir ou rat des greniersNotre conseilCrottes de ratLa souris domestiqueComment reconnaître la souris domestique ?Crottes de sourisLe rat d’égout ou surmulotComment reconnaître le rat d’égout ou surmulot ?Notre conseilLe lérotComment reconnaître le lérot ?Les crottes de lérotLe mulot sylvestreComment reconnaître le mulot sylvestre ?Nos conseilsLe campagnol des champsComment reconnaître le campagnol des champs ?Notre conseilLe campagnol terrestre ou rat taupierComment reconnaître le campagnol terrestre ou rat taupier ?Le campagnol provençalComment reconnaître le campagnol provençal ?Repérer les indicesLe rat musquéComment reconnaître le rat musqué ?Conseil pour la latteLe ragondinComment reconnaître le ragondin ?Notre conseilLe loirComment reconnaître le loir ?Crottes de loirComment lutter contre les rongeurs ?Lutter contre les sourisLutter contre les Rats d’égouts ou SurmulotsComment évaluer l’infestation ?Lutter contre les rats noirs ou rats des greniers Pour chasser les rongeurs efficacement de son habitation, il est essentiel d’identifier avec précision le type de rongeur auquel vous avez faire afin d’utiliser les bons répulsifs anti-rongeurs. Il est important de rappeler que les rongeurs sont des nuisibles pour l’homme qui véhiculent des maladies, abîment le mobilier et détériorent les denrées alimentaires. Aussi, que vous ayez à faire à une souris, un rat, une taupe ou un loir, il est important d’utiliser des produits professionnels pour les éliminer efficacement comme pour combattre les insectes. De nombreuses espèces Il existe de très nombreuses espèces de rongeurs. On recense une dizaine d’espèces nuisibles pour l’homme qui souillent et envahissent les habitations. Les espèces les plus communes et connues sont bien sûr les rats et souris. La meilleure manière de les reconnaître est d’étudier leurs excréments. Les rats font partis des nuisibles les plus destructeurs. Il disposent de dents qui continuent à grandir tout au long de leur vie et qui lui permettent de ronger câbles, papier ou carton. De taille moyenne, il s’introduisent par de petites cavités de moins de 2 centimètres. Ils recherchent avant tout la chaleur et à s’installer dans le sombre. A l’extérieur, ses refuges favoris sont les poubelles, véritables sources de nourriture pour eux. La seconde espèce la plus connue est les souris. Les excréments des souris sont relativement petits, moins d’un centimètre et en forme de grain de riz. Il vivent dans des terriers sous-terrains et s’invitent dans les habitations, véritables sources d’alimentation pour eux. En effet, ils s’alimentent aussi bien de céréales que de provisions humaines. D’un point de vue reproduction, ils sont capables de donner naissance jusqu’à 200 bébés sur moins d’une année. L’infestation et les colonies peuvent donc rapidement proliférer. Il faut agir rapidement. Pour vous aider à identifier toutes les autres espèces nuisibles pour l’homme, retrouvez ci-après notre guide complet. Le rat noir ou rat des greniers Le Rat noir Rattus rattus vit dans les lieux secs et perchés, greniers, charpentes…, nidifie dans les greniers, plaques d’isolants, les murs, les arbres… mais ne creuse jamais de terriers. C’est un animal qui est carnivore, granivore et carnassier. Il mange 10% de son poids 20 à 25 grammes quotidiennement et a besoin de très peu d’eau. Il a un pelage noir ou gris, a de grandes oreilles arrondies et sa queue est plus longue que l’ensemble tête + corps est de 14 à 23 centimètres. Son poids se situe entre 140 à 230 grammes. Il réalise entre 3 à 5 portées par an de 6 à 10 petits. Comment le repérer ? Il fait des crottes cylindriques, très sèches et noires. Des empreintes de pattes ou de queues sur la poussière peuvent être repérées. Matériaux de nids, isolation endommagée, carton, bois et câbles électriques rongés sont les signes de la présence d’un rat noir. Notre conseil Soyez patients, le rat noir est très méfiant et il est normal qu’il ne consomme pas les appâts dès leur installation. Disposez les appâts en hauteur sur les chemins des câbles électriques, les poutres, dans les faux plafonds et les plaques d’isolation. Crottes de rat Pour un traitement efficace et sécurisé contre les rongeurs, il faut dans un premier temps repérer les indices de présence crottes, nids, dégâts, traces… et disposer les appâts près de ceux-ci. Condamner au maximum les accès des rats, éliminer ou rendre inaccessibles les sources de nourriture qui attirent les rongeurs. Il faut privilégier une lutte sécurisée en installant les appâts dans des boites sécurisées. La souris domestique La souris domestique Mus musculus envahit les immeubles et les restaurants de nos villes. À la campagne, elle vit dans les fermes, les endroits de stockage d’aliments, mais aussi dans les jardins et les champs, et elle y fait un nid. Elle vit en tribu, a une odeur d’identification et parfois nid commun où plusieurs femelles mettent bas. Les nids peuvent également se trouver dans des endroits insolites. Elle est peu méfiante et très curieuse mais son rayon d’action est faible, de l’ordre de quelques mètres. Elle est rapide, agile grimpe très bien et se faufile partout. La souris domestique est omnivore, grignote toutes les matières et décortique les grains. Elle mange de 3 à 5 grammes par jour, n’a pas besoin d’eau, est très curieuse et s’intéresse à toute nouvelle nourriture. Elle ne consomme pas les aliments souillés. Son pelage est marron clair à gris clair, elle a de grandes oreilles plutôt pointues et sa taille longueur tête + corps sans la queue est de 6 à 10 centimètres et sa queue normalement plus longue que l’ensemble. Son poids est de 12 à 22 grammes. Elle a entre 5 à 10 portées par an avec de 4 à 8 petits. Comment la repérer on retrouve des crottes dispersées, brunes, en forme de grains de riz et de 3 à 6 millimètres de long. Des dégâts sur les papiers, les emballages et les tissus sont présents. On peut aussi découvrir des aliments stockés grignotés. Crottes de souris La souris consommant très peu de nourriture à la fois et ayant un rayon d’action limité à quelques mètres autour du nid, disposez des appâts très rapprochés partout où vous voyez des crottes. Soyez vigilant, car l’infestation peut reprendre très vite. Utilisez un piège à souris tapette, boîte à appât, ou piège électrique pour éradiquer les rongeurs de vos habitations, annexes ou garages. Le rat d’égout ou surmulot Le rat d’égout ou surmulot Rattus norvegicus vit dans les lieux humides, sous-sol des habitations, les endroits sombres et humides, les berges, égoûts,… et creuse des terriers dans le sol, près des points d’eau qui peuvent atteindre jusqu’à 40cm de profondeur. Il peut sauter plus de 75 cm de hauteur et escalader un mur lisse. Il vit essentiellement la nuit, est intelligent et méfiant de nature. Il est néophobe, méfiant vis-à-vis de tout ce qui est nouveau dans son environnement. D’un point de vue alimentaire, il est carnivore et granivore, de plus il a besoin d’eau en permanence. Il mange 10% de son poids environ 30 grammes par jour. Il se nourrit plusieurs fois la nuit, presque toujours sur le même site. Il ne consomme pas les aliments souillés par des déjections. Il a un comportement spécifique, il amasse des réserves alimentaires qui le plus souvent ne sont pas consommés maxi 40%. Il est capable d’associer des symptômes à la prise de nourriture. Il vit en colonies identifiées par une odeur spécifique et chaque individu a sa propre odeur. Il vit en colonies hiérarchisées, mais nidifie de façon isolée individus dominants en général les plus anciens, les individus intermédiaires et les individus dominés. Il est habillé d’un pelage marron clair à marron foncé, a de petites oreilles et sa queue est inférieure ou égale à tête + corps. Son poids oscille entre 230 à 500 grammes. Il a entre 5 à 6 portées par an allant de 6 à 12 petits. Comment le repérer ? On repère des crottes brunes de taille et de forme de noyau d’olive de 10 à 15 millimètres de long qui peuvent être groupées ou dispersées. Des traces grasses, brunâtres, mais aussi des empreintes sur le sol et des coulées dans la végétation. Il se cache également dans les effondrement de berges et destruction de végétaux. On note aussi des dégradations de câbles électriques et des odeurs d’urine. Notre conseil Ne déplacez pas les objets derrière lesquels le rat d’égout se déplace et se cache, car il est méfiant et très intelligent. Le rat d’égout ayant besoin d’eau, disposez les appâts près des points d’eau. Le lérot Le lérot Eliomys quercinus vit dans les bois, jardins et vergers, mais également dans les habitations en automne, où il hiberne d’octobre à avril. Il fait son nid et vit en couple avec les petits dans les vergers une seule portée par an. C’est un rongeur à la fois terrestre et arboricole, qui est extrêmement craintif. Il est essentiellement frugivore, granivore, insectivore et carnivore, prédateur d’oiseaux. Il ne constitue pas de réserve alimentaire avant hibernation. Il a un pelage brun rouge, de grandes oreilles, des yeux saillants et le tour des yeux noir, et sa queue est quasiment identique à l’ensemble tête + corps est de 12 à 15 centimètres. Le lérot est capable de laisser la fourrure de sa queue, un peu comme un lézard quand il est attaqué par un prédateur, c’est un vrai acrobate. Son poids est situé entre 60 et 140 grammes. Il a 1 portée par an de 2 à 8 petits. Comment le repérer ? On note des crottes de 1cm de long. Des nids dans les isolations au grenier et du tapage nocturne peuvent être identifiés. Les crottes de lérot Le lérot hiberne à l’automne dès que la température est inférieure à 10°C souvent dans les greniers et sous-pentes. Pour éviter cela, pensez à bien condamner les accès aux toits lucarnes, tuyaux d’évacuation, gaines, tuiles cassées…. C’est une espèce appartenant à la famille des Gliridae, espèce protégée par la convention de Berne Annexe III et par conséquent sa lutte est interdite. Le mulot sylvestre Le mulot sylvestre Apodemus sylvaticus vit dans les champs, jardins et habitations. Il fait un nid. C’est un habile grimpeur qui se déplace par bonds, on l’appelle aussi souris sauteuse ». Il est actif toute l’année et creuse des galeries parfois profondes. La peau de sa queue a la propriété de se rompre facilement pour permettre à l’animal de s’enfuir s’il est saisi par un prédateur. Il est discret, peu sociable et vit en couple. Son régime alimentaire il consomme des plantes, graines, baies, champignons mais aussi des insectes, vers et escargots. Il apprécie également le maïs, blé et l’avoine. Il fait des provisions. Il a un pelage gris et fauve sur le dos, et le ventre blanc. Il a de grandes oreilles à pavillon élargi, de gros yeux saillants, une queue très effilée et sa longueur tête + corps est de 8 à 10 centimètres. Son poids oscille entre 10 et 30 grammes. Il fait de 3 à 5 portées par an de 8 à 10 petits. Il a les membres postérieurs plus longs que les antérieurs animal sauteur. Comment le repérer ? Il fait des dégâts sur les plantules, semis, fruits serres horticoles, fraisiculture…. On retrouve des amas de graines, des trous percés dans les noisettes, des traces de dents. Il creuse également des galeries profondes et terriers de 2 à 3 centimètres de diamètre environ. Il se niche dans les garages, débarras, abris de jardin … à l’automne. Nos conseils Surveillez également les bâtiments à l’intérieur desquels les mulots peuvent s’introduire pour consommer des produits d’alimentation humaine et dégrader les matériaux d’isolation. Pour un traitement efficace et sécurisé contre les mulots, il faut dans un premier temps repérer les indices de présence crottes, terriers, dégâts… et disposer les appâts près de ceux-ci dans des boites d’appâtages sécurisées. Le campagnol des champs Le campagnols des champs Microtus arvalis vit en campagne dans les plaines, et plus particulièrement dans les prairies permanentes, jachères, colzas, luzernes et blés. Il fait des galeries superficielles jalonnées de nombreux trous béants reliés en surface par des coulées où il dépose des crottes. Il est très sociable, actif jour et nuit et vit en couple. Son comportement alimentaire il s’alimente presque exclusivement en surface. Il est herbivore et consomme plus particulièrement les parties aériennes des céréales graminées, jeunes céréales, semences, épis et également granivore. En vergers, la base des troncs est rongée, ainsi que les racines. Il a un pelage brun clair sur le dos et un ventre grisâtre. Son museau est arrondi, il a des gros yeux saillants et ses oreilles sont petites et rondes. Sa longueur tête + corps est de 8,5 à 12 centimètres et sa queue est courte. Son poids est entre 20 et 50 grammes. Il a entre 5 à 8 portées par an, de 3 à 7 petits. Ce rongeur est sujet à pullulations cycliques redoutables 1200 indiv/hect. Comment le repérer des crottes cylindriques noires de la grosseur d’un grain de riz. Des galeries très superficielles jalonnées de nombreux trous ronds, d’un diamètre de 3cm, reliés en surface par des coulées herbes jaunies. Notre conseil Les pullulations de campagnols peuvent avoir des conséquences catastrophiques. Il faut faire de la surveillance et traiter précocement. Pour un traitement efficace et sécurisé autour des bâtiments, il faut très rapidement repérer les indices de présence crottes, trous, coulées, galeries… et disposer les appâts dans des boîtes d’appâtages sécurisées. Pour la lutte en zone cultivée, vous devez vous adresser à l’ Organisme à Vocation Sanitaire de votre département. Le campagnol terrestre ou rat taupier Le campagnol terrestre ou rat taupier Arvicola terrstris vit dans les prairies et cultures d’altitude Massif central, Franche comté, Jura. Il mène une vie souterraine et est actif le jour et la nuit. Il fréquente les prairies, les potagers et les plantations. Il creuse des galeries dans le sol et forme des monticules à la surface évoquant les taupinières tumuli. Son comportement alimentaire, il consomme essentiellement les parties souterraines des plantes, racines, bulbes et tubercules. Il n’hésite pas non plus à s’attaquer aux grosses racines des arbres. Il a un pelage brun sombre, n’a pas de cou, ses oreilles sont petites et arrondies. Sa queue est courte et velue, et sa longueur tête + corps est de 12 à 20 centimètres. Son poids est situé entre 60 et 120 grammes. Il a entre 4 à 6 portées par an de 3 à 7 petits. Ce rongeur est sujet à pullulations cycliques redoutables 1200 indiv/hect. Comment le repérer ? En creusant ses galeries, il fait des tumili très rapprochés contrairement aux taupinières, de plus la terre évacuée est comme tamisée, la taille des grains est inférieure à des petits pois. La galerie du campagnol débouche en biais à l’air libre alors que celle de la taupe débouche verticalement. La végétation dépérit au dessus des galeries. On constate des traces de dents au niveau du collet des jeunes arbres. Le campagnol provençal Le campagnol provençal Microtus Duodecimcostatus vit dans les milieux ouverts, champs, sables littoraux, vergers et cultures légumières et occasionne de gros dégâts. Il mène un vie souterraine, c’est un animal fouisseur. Ses galeries n’ont en général pas d’ouverture externe. On le retrouve uniquement dans la zone méditéranéenne plus particulièrement en Languedoc et dans la vallée du Rhône. Il est actif le jour et la nuit, et vit en couple. Il se nourrit essentiellement de l’écorce des racines, des tubercules, des bulbes et rhizomes, graines et fruits tombés au sol. Il a un pelage brun-roux sur le dos, plus clair sous le ventre. Ses oreilles sont petites et arrondies, qui sont enfouies dans le pelage. Sa queue est courte et sa longueur tête + corps est de 8 à 11 centimètres. Son poids est situé entre 18 et 25 grammes. Il a entre 4 à 5 portées par an de 3 à 7 petits. Il se reproduit principalement l’hiver, de septembre à avril. Longévité élevée de 2 à 3 ans. Comment le repérer ? Il fait des galeries de 2cm de diamètre, avec des petits monticules de terre pas de vraies taupinières. On constate une disparition totale des racines de légumes ou de porte-graines et dépérissement de la plante. Repérer les indices Traiter dès l’apparition de terriers et de dégâts pour éviter l’infestation. Pour un traitement efficace autour des constructions, il faut repérer les indices de présence crottes, trous, coulées, galeries… et mettre en place les appâts dans des boîtes d’appâtages sécurisées. Pour la lutte en zone cultivée, vous devez vous adresser à l’ Organisme à Vocation Sanitaire de votre département. Le rat musqué Le rat musqué Ondatra zibethicus vit dans les berges, à proximité des plans d’eau, hutte au milieu des plans. C’est une espèce qui est herbivore plantes aquatiques et en hiver il complète son alimentation par quelques animaux aquatiques. Il est capable d’ouvrir des coquillages moules d’eau douce. Son pelage est brun jaunâtre. Ses pattes postérieures sont palmées et sa queue est plate. Le corps du rat musqué mesure de 30 à 35 centimètres et sa queue de 20 à 25 centimètres. Son poids est compris entre 600 et 1500 grammes quand il est sec. Il a 3 portées par an de 5 à 9 petits. Conseil pour la latte Pour cette espèce, la lutte est règlementée Arrêté du 6 Avril 2007 et la lutte chimique est interdite. Le ragondin Le ragondin Myocastor coypus vit dans les fossés et canaux reliant les marais, mais également dans les rivières et eaux saumâtres. Il construit des terriers à proximité des points d’eau. C’est un animal qui a un régime alimentaire principalement herbivore. Il consomme les cultures céréalières maïs, blé, des plantes aquatiques et également des moules d’eau douce. Il a un pelage noirâtre, ses pattes postérieures sont palmées. Il possède quatre grandes incisives oranges tirant sur le rouge. Son corps mesure de 40 à 60 centimètres et sa queue de 24 à 45 centimètres. Son poids varie de 6 et 10 kg. Il a 2 portées par an de 5 à 6 petits. Notre conseil Pour l’espèce du ragondin, la lutte est règlementée Arrêté du 6 Avril 2007 et la lutte chimique est interdite. Le loir Le loir Glis glis vit dans les forêts et les bâtiments abandonnés. Il fait son nid dans des creux d’arbres, murailles ou dans les branches. Il vit en couple ou en petits groupes familiaux sédentaires sur un territoire d’environ 3 à 4 hectares. Le loir hiberne à l’automne dès que la température descend en dessous de 10°C. Son comportement alimentaire le range dans les animaux omnivores mais les fruits secs et graines sont ses aliments préférés. Il peut être également carnivore. Il stocke beaucoup de nourriture avant sa période d’hibernation. Il a une épaisse fourrure grise, des petites oreilles, des yeux saillants, sa queue est touffue, légèrement plus courte que l’ensemble tête + corps de 13 à 18 centimètres. Son poids est compris entre 80 et 180 grammes. Il a entre 1 à 2 portées par an de 4 à 5 petits. Comment le repérer ? Des crottes de 1 centimètres de longueur sont visibles. On le reconnaît aussi via son nid, construction ovoïde d’une bonne quinzaine de centimètre de diamètre faite de brindilles, mousses, feuilles, herbes sèches avec une ouverture latérale. Les loirs s’introduisent dans les greniers et s’attaquent aux isolations pour confectionner leurs nids, de plus on peut entendre du tapage nocturne sous les loir grogne, crie et siffle. Crottes de loir Le Loir hiberne à l’automne dès que la température est inférieure à 10°C souvent dans les greniers et sous-pentes. Pour éviter cela pensez à bien condamner les accès aux toits lucarnes, tuyaux d’évacuation, gaines, tuiles cassées…. C’est une espèce appartenant à la famille des Gliridae, espèce protégée par la convention de Berne Annexe III et par conséquent sa lutte est interdite. Pourquoi lutter contre les rongeurs nuisibles ? De tout temps, l’homme a lutté contre la prolifération des nuisibles pour protéger à la fois les cultures, les denrées stockées céréales, fruits, légumes…, les bâtiments, mais surtout pour assurer sa sécurité sanitaire, son hygiène contre bon nombre de maladies. Aujourd’hui la lutte doit être responsable et performante. La lutte, pour se débarrasser des nuisibles et de leurs nuisances, ne peut plus être menée dans n’importe quelles conditions. Règles de sécurité, protégeant les animaux non ciblés chiens, chats… et les être humains doivent être scrupuleusement observées. Le respect de l’environnement et les risques de pollution sont également, des préoccupations majeures. Lutter contre les souris Le traitement des souris pose souvent des problèmes. Elles se faufilent partout, sont très prolifiques et il est difficile d’évaluer leur nombre. Les souris consomment très peu de nourriture à la fois, et sont capables d’explorer jusqu’à 30 sources de nourriture en une nuit. Pour réussir un traitement contre les souris il faut mettre en place de nombreux pièges à souris. Placez boites d’appâtages tous les 1 à 2 mètres dans chaque endroit où vous voyez des crottes. Elles finiront ainsi par consommer une quantité suffisante d’appât, pour atteindre une dose mortelle de souricide. Poursuivez le traitement assez longtemps pour être sûr de toucher toute la population. Les infestations reprennent très vite, soyez vigilant et traitez le plus tôt possible, dès que les indices de présence apparaissent. Lutter contre les Rats d’égouts ou Surmulots A l’extérieur, on trouve les rats d’égouts souvent vers les points d’eau et dans les zones de végétation autour des bâtiments. Ils aiment les endroits sombres et humides. Traitez autour des bâtiments, dans les caves, les hangards, les ateliers. Mettez des boites d’appâtages le long des murs et près des portes et les disposer tous les 6 à 8 mètres près des indices de présence. Les rats d’égout sont très méfiants et il est normal qu’ils ne consomment pas immédiatement les appâts. Les rats sont nocturnes et donc peu visibles en plein jour. Si vous en voyez en plein jour, c’est que l’infestation est importante. Surveillez la bonne prise de l’appât et remettez des appâts tant qu’il y a consommation. Avant toute utilisation du produit, lisez bien l’étiquette du produit. Lutter contre les rats noirs ou rats des greniers Le rat noir ou rat des greniers vit dans les lieux secs et perchés. Il se trouve le plus souvent dans les greniers et les charpentes de nos maisons. Il ne creuse pas de terrier mais nidifie dans les greniers et les isolations. Le rat noir est un grimpeur. Les rats sont beaucoup plus méfiants que les souris et notamment si on bouge ou ajoute des objets dans leur environnement. Ils sont capables de faire la relation de cause à effet avec ce qu’ils consomment. Pour la bonne utilisation d’un appât, il faut dans un premier temps repérer les traces, c’est à dire les crottes, les nids, les passages formés par les rongeurs et disposer les boites d’appâtages sur les parties hautes des bâtiments, c’est à dire sur les poutres, les rebords de murs toujours au plus près des traces.
ingestioncrotte de souris. March 4, 2022 . peut on acheter la clé tv orangeDans le monde occidental, les chauves-souris suscitent la peur, et une forte répulsion, un certain mystère, par méconnaissance le plus souvent ! Animaux nocturnes, elles ont enflammé l'imagination des Rome antique les décrivait comme des animaux apparentés au diable. Dans la religion catholique, les anges sont représentés avec des ailes d'oiseaux, le diable au contraire est paré d'ailes de chauves-souris. On les clouait sur les portes des granges jusqu'au milieu du XXe siècle, même en France !L'Europe occidentale a toujours utilisé cet animal dans les manifestations de l'horreur directes ou indirectes nous citerons pour exemples Batman, le sauveur, Dracula, le méchant, et la fête d'Halloween qui fait la part belle aux sorcières et autres chauves-souris...Dans la Chine ancienne, l'aspect et le comportement des chauves-souris attiraient les soupçons. Pour expliquer l'origine de cet animal, on disait que la souris avait été transformée en chauve-souris après avoir mangé du sel ou des crottes ou des huiles. Sous l'influence de la mauvaise réputation de la souris, la chauve-souris avait une triste image de marque. À l'époque des Trois Royaumes 222-265, le poète Cao Zhi écrit le Récitatif sur la chauve-souris et il se dit convaincu que la chauve-souris est un animal rusé et néfaste. Plus tard, la chauve-souris est devenue un des ingrédients servant à la préparation des médicaments et on croyait que la chauve-souris prolongeait la vie....Et puis, en Chine, plus tard encore, la chauve-souris a eu de la chance, parce que le caractère chinois fu » qui signifie bonheur est un homonyme de fu » qui signifie chauve-souris ! Le motif des chauves-souris fut utilisé ainsi pour illustrer le bonheur. Ce motif a été popularisé vers le XVIIe siècle, surtout au milieu et à la fin de la dynastie des Qing 1644-1911. Son utilisation s'est propagée dans la construction, le textile, la broderie, la peinture, la porcelaine, la gravure sur bois et sur Pengshou est un motif où cinq chauves-souris entourent le caractère chinois shou » longévité. Ce motif symbolise qu'on possède à la fois bonheur et longévité et les cinq chauves-souris symbolisent la richesse, la santé et la tranquillité, la moralité et une belle mort. On trouve ce motif sur beaucoup d'objets en Chine à cette époque et en particulier sur une robe du XVIIIe siècle. On trouve encore des chauves-souris dans l'art domestique chinois et les fameux cerfs-volants, dont certains sont de véritables œuvres d' Europe aussi la chauve-souris a son côté emblématique en tous les cas dans certains domaines comme l'armée avec, par exemple, le blason de la RAF 153rd squadron ou l'héraldique ou les armoiries de certaines communes bien qu'elle y soit rare et toujours représentée ailes déployées ou encore la Tupinier, dans son livre La Chauve-souris et l'homme cite encore de nombreux exemples, je n'en mentionnerai que trois ici certaines marques célèbres comme Rhum Bacardi, ou la société anglaise Bat Building Products Ldt qui a déposé en France le mot Bat Best After Test, on trouve donc une chauve-souris sur les produits de cette marque, ou encore, troisième exemple, en Allemagne avec la firme AEG qui avait donné le nom de Vampyr à une ligne d'aspirateurs... L'imaginaire des enfants, quant à lui, nous donne l'occasion de voir des chauves-souris amicales et drôles...Avant de terminer ce petit exposé sur les chauves-souris, quelques traductions de ce mot dans le tableau chauve-souris a inspiré Léonard de Vinci et Clément AderEt, bien sûr, la plus grande conséquence scientifique et commerciale de l'observation des chauves-souris les avions... Léonard de Vinci a commencé et le 9 octobre 1890, le Français Clément Ader quitte pour la première fois le sol et s'élève à quelques centimètres du sol. Il fait un bond de 50 avion, baptisé Éole, ressemble à une chauve-souris et est dépourvu d'ailerons qui assurent une stabilité latérale. Sa machine voir photo est actionnée par une machine à vapeur. Ader construisit d'autres appareils qu'il nommera par la suite avions. Le terme avion passera ensuite dans le langage courant.
Comment savoir si on a des puces dans son lit ? En plus des acariens et des punaises de lit [11], les puces sont aussi présentes dans les chambres à coucher des maisons et des appartements. Les signes de la présence de puces dans une literie housses de coussins, matelas,… comprennent des petits points blanchâtres œufs de puces, et des minuscules taches noires qui peuvent correspondre à des poussières. Toutefois, ces petites pellicules noires, qui peuvent être rencontrées dans différents recoins de la maison, sont des excréments de puces. Pour le savoir, il faut saupoudrer un peu d’eau dessus, et si elles changent de couleur, en devenant brun rougeâtre foncé c’est qu’il s’agit d’excréments de puces. Enfin, un autre signe que les puces ont envahi un lit les piqûres de puces sur le corps et la survenue de fortes démangeaisons. Comment se débarrasser des puces dans la maison ? Pour finir, la première action à engendrer sera de nettoyer convenablement l'intégralité des textiles coussins, couvertures, plaids, couvertures, draps, rideaux, etc.. De la sorte, l'idéal est de procéder à un lavage des textiles en machine à laver à une température d'au moins 60°C. Il est aussi possible d'utiliser un nettoyeur à vapeur selon le type de surface et la fragilité des matériaux. Ensuite, il est nécessaire de passer l'aspirateur dans tous les recoins de la maison. Il faut penser à jeter soigneusement le sac de l'aspirateur aux ordures en dehors de la maison après le nettoyage. Pour les aspirateurs sans sac, il faut absolument nettoyer le bac récupérateur et le désinfecter avec le plus grand soin. Lors du grand ménage antipuces, il est indispensable d'insister le nettoyage sur les zones où séjournent habituellement les œufs et larves de puces parquet, moquette, tapis, fauteuils, canapés, matelas,…. Les traitements anti-puces pour la maison Concernant le traitement de la maison pour éradiquer les puces, on trouve dans le commerce des produits de désinsectisation insecticide en aérosol, par fumigation,…, à adapter selon l'ampleur de l’infestation. Aussi, il existe de nombreux remèdes naturels anti-puces huiles essentielles répulsives,… réalisables chez soi. Ces recettes de grand-mère faciles à réaliser sont disponibles sur Internet et dans des ouvrages spécialisés. Elles sont constituées généralement à base d'ingrédients tels que le bicarbonate de soude, la terre de diatomée poudre issue d'une roche sédimentaire siliceuse, l'acide borique, le thym, la lavande ou la menthe pouliot Mentha pulegium L.. L'avantage d'utiliser des produits naturels anti-puces, en plus de leur potentielle efficacité, est qu'ils sont inoffensifs pour la famille et les animaux de compagnie. Ils permettent aussi de mieux respecter l'environnement. Néanmoins, même s'ils sont naturels, ces produits doivent être manipulés avec précaution. En cas de doute, il est recommandé de demander conseil à un professionnel de la santé et/ou un professionnel de la lutte contre les nuisibles.